Cettepersonne ne veut pas avoir tord alors il dit et ce met en conclusion qu’il dort 4 heures et que c’est assez. Cette croyance que vous imaginez par exemple l’auto hypnotiste est fausse. Imaginer la situation ou cette personne fait Ă  croire qu’il dort seulement 4 heures et qui Ă©quivaut a 8 heures ses rĂ©vĂ©lations sont en sortes une La diffĂ©rence entre l'hypnose de spectacle et l'hypnose Ă©ricksonienne rĂ©side dans le langage utilisĂ© par l'hypnothĂ©rapeute. En hypnose de spectacle, on ordonne des actions tandis qu'en hypnose Ă©ricksonnienne, on fait des propositions et des suggestions. Le langage utilisĂ© en hypnose ericksonnienne est donc trĂšs diffĂ©rent de par sa forme permissive qui laisse un grand champ de possibilitĂ©s. Cela explique en grande partie la diffĂ©rence de taux de rĂ©ceptivitĂ© entre ces deux types d'hypnose. 100% des personnes sont rĂ©ceptives Ă  l'hypnose Ă©ricksonnienne contre 20% seulement pour l'hypnose de spectacle. Une autre diffĂ©rence est celle de l'objectif. En effet, le but de l'hypnose de spectacle est, comme son nom l'indique, de faire du spectacle, d'amuser et de choquer les foules. L'hypnose Ă©ricksonnienne, quant Ă  elle, s'inscrit dans un autre registre l'objectif est personnel et introspectif. L'hypnose ne prĂ©sente aucun danger pour la santĂ©. On finit toujours par "revenir" de la transe, quoi qu’il arrive. PremiĂšrement parce qu'on ne dort pas pendant la transe. DeuxiĂšment, parce que si aucune suggestion n'entretient l'Ă©tat de transe, le fonctionnement hypnotique se dissipe simplement. Enfin, nous connaissons tous des Ă©tats d’hypnose dans notre quotidien. Donc si l’hypnose Ă©tait un rĂ©el danger, alors nous serions tous en danger Ă  chaque fois que nous nous plongeons dans un bon livre, un film, ou une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e. Par ailleurs, de nombreuses opĂ©rations chirurgicales se font dĂ©sormais sous hypnose et les hĂŽpitaux sont de plus en plus combreux Ă  ouvrir leurs portes Ă  cette nouvelle pratique. Afin de vous permettre d'expĂ©rimenter l'hypnose en toute confiance, prenez simplement le temps de trouver l'HypnothĂ©rapeute qui vous correspond le mieux, celui avec lequel vous vous sentez Ă  l'aise pour lĂącher prise et pour trouver ensemble des objectifs prĂ©cis. Un hypnothĂ©rapeute n'a aucun pouvoir sur son client, il a simplement un rĂŽle d'accompagnateur et maĂźtrise l'art du langage pour induire un Ă©tat d'hypnose, Ă  condition que la personne se sente suffisamment en confiance pour s'autoriser Ă  faire un petit voyage intĂ©rieur. Lesdangers de l’hypnose : ce qu’il faut savoir. L’hypnose est une technique qui peut ĂȘtre dangereuse si elle est mal utilisĂ©e. Lire aussi : TĂ©lĂ©chargez votre sĂ©ance d’hypnose gratuite pour changer votre vie. Cela peut provoquer des phobies chez certaines personnes, et les praticiens doivent ĂȘtre conscients de ce danger. La base de l’hypnose est la suggestion, technique psychique qui repose sur la croyance que le thĂ©rapeute peut influencer par la parole, un Ă©tat affectif ou un comportement chez le patient. On pourrait penser Ă  une possible manipulation, mais dans l’hypnose le patient recherche cette influence. La manipulation mentale est une pratique visant Ă  agir sur la volontĂ© et le libre-arbitre du patient, ce que ne vise pas l’hypnose. Le but de l’hypnose est de moduler le fonctionnement du systĂšme nerveux par un travail mental. L’expĂ©rience montre que l’hypnose soigne physiquement et psychiquement et dĂ©barrasse des addictions. Mais que se passe-t’il rĂ©ellement ? Qu’en dit la science ? L’hypnose est utilisĂ©e dans la lutte contre la douleur. La composante sensori-discriminative de la douleur est l’expression de l’expĂ©rience sensorielle localisation, durĂ©e, type
. Sa composante cognitivo-comportementale-affective . La composante affective de la douleur est sa tonalitĂ© dĂ©sagrĂ©able non renouvellement et Ă©motions. La composante cognitive est reprĂ©sentĂ©e par les processus mentaux qui influencent la perception des processus douloureux, notamment le contexte sport, maladie. La composante comportementale est reprĂ©sentĂ©e comme son nom l’indique par les comportements liĂ©s Ă  la douleur mimiques, postures, plaintes
.. L’hypnose est un outil thĂ©rapeutique qui cherche Ă  moduler le fonctionnement du systĂšme nerveux central en bloquant la circulation des neurotransmetteurs, en diminuant les hormones telles que les kinines, et en exerçant un impact positif sur les Ă©motions nĂ©gatives, et ce, par un travail mental. En effet, s’imaginer avoir moins mal, 
 c’est avoir moins mal ! L’état hypnotique transe ne peut ĂȘtre assimilĂ© Ă  un sommeil vĂ©ritable mĂȘme si on retrouve certaines similaritĂ©s au niveau du fonctionnement mental. L’hypnose est un Ă©tat spĂ©cifique, un Ă©tat de conscience modifiĂ©. C’est un Ă©tat naturel que vous reproduisez plusieurs fois par jour sans vous en rendre compte lecture, rĂȘverie,
. Le seul guide est le patient, et le thĂ©rapeute ne fait que l’accompagner. Il s’agit d’une relation d’aide, car l’hypnose est un outil thĂ©rapeutique et, en tant que tel, un mode de communication particulier. Cette communication utilise deux modes Le mode digital qui s’adresse Ă  l’hĂ©misphĂšre gauche avec les codes communs appris et fixĂ©s, et la logique du conscientLe mode analogique qui s’adresse Ă  l’hĂ©misphĂšre droit, lieu de la communication non-verbale et de la logique de l’inconscient ; Lorsque l’information transmise selon ces deux modes est identique, il y a congruence. Lorsqu4elle est opposĂ©e, il y a incongruence. Une sĂ©ance commence par l’induction qui est l’entrĂ©e dans l’état d’hypnose via une rĂ©orientation de l’attention de l’extĂ©rieur vers l’intĂ©rieur. Cette Ă©tape est suivie par l’approfondissement de la transe par la dissociation qui est une modification cognitive de la conscience du sujet, sĂ©parant l’inconscient et le conscient, oĂč le patient devient acteur et spectateur. La profondeur de la transe est fonction des phĂ©nomĂšnes hypnotiques observĂ©s. Suivent ensuite le rĂ©veil et la rĂ©association qui constituent la sortie de la transe hypnotique, phase trĂšs importante. Ensuite viennent les vĂ©rifications qui sont une phase d’observation des comportements et de questionnement afin de vĂ©rifier qu’aucun processus hypnotique ne persiste. Il s’agit aussi de donner au patient des renseignements sur le travail qui reste Ă  faire. Prenons l’exemple de la douleur. Il existe diffĂ©rents types de suggestion Les suggestions directes d’analgĂ©sie, visant la diminution de la douleur, l’engourdissement de la zone ;Les suggestions indirectes, visant l’anesthĂ©sie d’une zone non douloureuse telle que le doigt ou la main, et la transmission de l’anesthĂ©sie vers la zone douloureuse ;Le dĂ©placement de la douleur, consiste en le transfert de la douleur sur une partie du corps libre de douleur et moins chargĂ©e symboliquement. La dissociation consiste en l’observation de la douleur comme extĂ©rieure, sa description sans composante Ă©motive, bref une sĂ©paration du corps et de l’esprit. La distorsion du temps permet de modifier la perception du temps principalement lors de douleurs Ă©pisodiques. La distorsion perceptuelle et la crĂ©ation d’un monde de fantaisie » modifie la perception gĂ©nĂ©rale de la douleur. La substitution de la douleur par une autre consiste en la suggestion d’une douleur plus agrĂ©able, plus confortable, plus banale qui va se substituer Ă  la sensation de douleur existante froid, picotements, chaleur. La concentration sur la douleur avec une nouvelle perspective applique le principe de diviser pour mieux rĂ©gner » oĂč le patient acquiert une certaine forme de contrĂŽle de sa douleur en dissĂ©quant ses composantes. Le changement de signification de la douleur permet de rendre supportable, par exemple la considĂ©rer comme un signal d’alarme. Cette approche est surtout intĂ©ressante dans les douleurs psychogĂšnes car le sujet peut trouver un sens ou une signification Ă  sa douleur ce qui le conduira Ă  chercher une autre solution moins pathogĂšne. Est Ă©galement utilisĂ© le changement de la signification de l’apparition de la douleur, notamment dans les douleurs Ă©pisodiques, l’accent Ă©tant mis sur l’apparition d’une nouvelle pĂ©riode calme. La rĂ©gression en Ăąge consiste en le retour Ă  un Ăąge antĂ©rieur Ă  la douleur et Ă  l’existence de la maladie permettant de faire accomplir des gestes aujourd’hui devenus impossible. L’imagerie neuropsychologique permet de visualiser des processus neuropsychologiques qui permettent le contrĂŽle de la douleur un filtre ne la laissant pas passer. La pratique de l’hypnose dans le soin L’hypnose comme moyen d’entrer en relation avec le patient lors d’un soin ou d’une relation de soin dans un maximum de confort. L’hypnose, Ă©tat modifiĂ© de conscience et la science Sur le plan scientifique, on ne disposait que de donnĂ©es subjectives pour dĂ©crire et comprendre l’état hypnotique. Les seules donnĂ©es Ă  disposition Ă©taient recueillies par l’électroencĂ©phalogramme et demeuraient controversĂ©es
 AprĂšs les diffĂ©rentes dĂ©couvertes sur les voies de la douleur
 », des tests scientifiques rĂ©alisĂ©s sur des sujets en Ă©tat d’hypnose ont permis de dĂ©montrer que les changements subjectifs liĂ©s Ă  l’hypnose sont accompagnĂ©s de modifications de l’activitĂ© neuronale. si la douleur est pĂ©nible, c’est parce que nous lui attribuons une charge Ă©motionnelle composante Ă©motionnelle de la douleur,. La rĂ©gion spĂ©cifiquement mise en jeu par la douleur et identifiĂ©e grĂące aux techniques d’imagerie est le Cingulum antĂ©rieur. Cette zone s’allume diffĂ©remment en Ă©tat hypnotique sur l’IRM fonctionnel L’hypnose est donc bien un mode de fonctionnement cĂ©rĂ©bral spĂ©cifique oĂč sont activĂ©s des zones sensorielles et motrices pariĂ©tales, occipitales, prĂ©frontaux et cingulaire
 traduisant une image visuelle, motrice et kinesthĂ©sique spĂ©cifique Ă  l’état hypnotique, identifiable grĂące aux techniques d’imagerie actuelle. Notions sur l’hypnose L’hypnose, qu’elle soit naturelle ou provoquĂ©e par la technique, est un Ă©tat modifiĂ© de conscience, diffĂ©rent de l’état de conscience ordinaire, dans lequel le patient va puiser les ressources dont il dispose dans son Inconscient. L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitĂ©e par la chaleur d’une autre personne. M. Erickson L’ hypnose dans le temps Le Chamanisme, art de guĂ©rison et approche spirituelle existant depuis plus de 5000 ans, a un lien avec l’hypnose. On retrouve en effet dans le Chamanisme le principe de la transe, une transe induite par un rituel associant expression corporelle et Ă©tat psychique particulier. Les trouvailles les plus anciennes sont des tablettes de SumĂ©riens, remontant Ă  4000 ans avant JC, qui dĂ©criraient des mĂ©thodes d’hypnose. Les Egyptiens et les Grecs auraient eux aussi pratiquĂ© des techniques telles que la transe hypnotique ou la mĂ©decine par les songes. C’est en 1778 que la discipline fait sa rĂ©elle apparition en France, avec Franz-Anton Mesmer, qui a dĂ©veloppĂ© des thĂ©ories sur le magnĂ©tisme, qui se rapporte aujourd’hui Ă  l’hypnose. Les deux termes sont d’ailleurs synonymes jusqu’à la fin du XIXĂšme siĂšcle. Il se base sur des travaux de Paracelse, et affirme qu’un fluide universel » est prĂ©sent dans le corps humain, sur lequel il est possible d’agir ce qui provoque les crises magnĂ©tiques. A partir de la fon du XVIIĂšme siĂšcle, les mĂ©decins commencent Ă  s’intĂ©resser aux Ă©tats hypnotiques, autrefois jugĂ©s surnaturels, et ils cherchent mĂȘme Ă  les provoquer. C’est Ă©galement Ă  cette Ă©poque, que le sommeil magnĂ©tique » a Ă©tĂ© utilisĂ© pour la premiĂšre fois comme anesthĂ©siant pour une chirurgie pratiquĂ©e par le DR John Elliotson. L’Ecole de la SalpĂȘtriĂšre Ă  Paris a Ă©galement contribuĂ© Ă  dĂ©velopper la pratique de l’hypnose, surtout entre 1882 et 1892, avec notamment Jean-Martin Charcot, cĂ©lĂšbre neurologue connu Ă©galement pour ses recherches sur l’hystĂ©rie. A l’aube du XXĂšme siĂšcle, Pavlov dĂ©crit l’hypnose comme un Ă©tat intermĂ©diaire entre le sommeil et la veille en phase d’inhibition du systĂšme nerveux » qui permet d’établir un lien avec le praticien. En Russie, ses travaux servent de base Ă  l’école nationale d’hypnothĂ©rapie. En 1919, Pierre Janet est l’un des seuls en France Ă  mener des recherches sur cette discipline, qui ne gĂ©nĂšre plus autant d’enthousiasme que dans les annĂ©es 1880-1890. Pendant la seconde guerre mondiale, la notoriĂ©tĂ© de l’hypnose augmente Ă  nouveau car elle est de plus en plus utilisĂ©e pour venir en aide aux soldats ayant subi des traumatismes psychologiques. Le tournant dĂ©cisif est marquĂ© par Milton Erickson qui l’a diversifiĂ©e et qui l’a rendue accessible grĂące aux formations Ă  l’hypnose. Il a aussi participĂ© Ă  la crĂ©ation de la Programmation Neuro-Linguistique AVEC Bandler et Grinder dans les annĂ©es 70. C’est LĂ©on Chertok qui introduit le concept d’hypnose thĂ©rapeutique en 1971 et qui fonde le Laboratoire d’Hypnose ExpĂ©rimentale Ă  Paris. L’Hypnose d’aujourd’hui est de plus en plus pratiquĂ©e dans une vision humaniste » qui prend davantage en compte le bien-ĂȘtre du client et son environnement intĂ©rieur et extĂ©rieur. UtilisĂ©e dans la thĂ©rapeutique douleur, l’hypnose est un outil de communication et surtout un outil de changement des bases qui dĂ©finissent la relation thĂ©rapeutique. Le consultant est-il un visiteur, un plaignant, un client ? La sĂ©ance d’hypnose 1 – La veille ordinaire, les sens et la raison pour rester en relation avec l’extĂ©rieur F Roustang / J Lassner. 2 – L’induction, le regard fixe un objet pour se couper de l’environnement rĂȘve, Ăąme sentante Hegel. Le praticien utilise les sens du patient vision, ouĂŻe, odorat, toucher Ă  diffĂ©rents moments, c’est-Ă -dire de maniĂšre alternĂ©e pour induire l’état de transe hypnotique. 3 – La dissociation, confusion, perte de la sensorialitĂ© liĂ©e aux fonctions rĂ©flexives, intellectuelles et sensorielles perceptions visuelles, tactiles et sensorielles. 4 – La perception premiĂšre qui fonctionne en dehors de la raison ressources, imagination, inventivitĂ© en relation avec son corps, une action de guĂ©rison. 5 – Le rĂ©veil, phase de retour vers la sensorialitĂ© La synchronisation La synchronisation verbale C’est ĂȘtre Ă  l’écoute du patient, de ses mots, de ses intonations et de ses expressions
  Reformuler les mots clĂ©s, entendre ses silences,  Respecter le rythme. La synchronisation non-verbale ïŹ C’est observer+++ et rechercher l’accordage avec son patient dans une sorte de mimĂ©tisme corporel La posture position du corps
,La respiration rythme, amplitude
,La voix volume, tonalité ,Les mouvements du corps gestes
,Le tonus musculaire visage, mains
,La peau pĂąleur, rougeur
. Les diffĂ©rentes mĂ©thodes L’hypnose conversationnelleAccompagnement verbal du patientL’hypnose lĂ©gĂšreFocalisation d’un point, d’une situation connue agrĂ©able du patientL’hypnose profonde D. MegglĂ©Dissociation /confusion, le corps ne perçoit plus de stimulations rĂ©flexives, intellectuelles et sensoriellesL’hypnoanalgĂ©sieTechnique de lĂ©vitation ou de catalepsie d’un membre, gant magique
L’hypnosĂ©dationHypnoanalgĂ©sie avec une sĂ©dation mĂ©dicamenteuse associĂ©e Les diffĂ©rents types d’analgĂ©sie hypnotique Le praticien utilise ce que dit le patient de sa douleur et l’accompagner sous la forme d’un dialogue question-rĂ©ponse ou d’un accompagnement narratif. Il s’adresse ,non pas Ă  la conscience rationnelle mais, Ă  l’imaginaire du patient avec des mĂ©taphores, laissant l’inconscient transformer le rapport du patient aux symptĂŽmes Mise Ă  distance du stimuli douloureuxExternalisation du processus douloureuxCrĂ©ation d’une analgĂ©sie localisĂ©eGant magique, bain froid, stylo analgĂ©sique
Technique du poing fermĂ© ïŹ Concentration, fixation ïŹ Augmentation et diminution de la douleurModulation du stimuliDĂ©placement de la douleurLocalisation dans une autre partie du corpsDiminuer l’attention Ă  la douleurTechnique de lĂ©vitation, de catalepsieEnvisager un avenir oĂč la douleur sera moins ou pas prĂ©senteUtilisation d’une mĂ©taphore Le savoir-faire en hypnose Le savoir-faire, c’est savoir – Recadrer une plainte, – NĂ©gocier un objectif, – CrĂ©er l’alliance, – Permettre une expĂ©rience Ă©motionnelle correctrice chez un patient douloureux. Les rĂ©sultats d’une thĂ©rapie sont liĂ©s pour – 40 % Ă  des facteurs liĂ©s au client, – 30 % Ă  la qualitĂ© la relation avec le thĂ©rapeute, – 15 % aux espoirs et aux attentes du patient, – 15 % pour la technique Les champs d’intervention en milieu hospitalier L’hypnose peut se pratiquer sur tous types de pathologies, sachant qu’elle deux orientations diffĂ©rentes. Dans le cadre d’une psychothĂ©rapie, elle a une vocation curative, servant Ă  accompagner le patient dans sa thĂ©rapie. Elle est notamment utilisĂ©e avec succĂšs dans les addictions , les troubles du comportement alimentaire. Dans le champ du somatique douleur ou autre symptĂŽme, l’hypnose ne va pas guĂ©rir la maladie, mais agir sur les symptĂŽmes, leur pĂ©nibilitĂ©. Il s’agit donc d’une thĂ©rapie complĂ©mentaire, utilisĂ©e notamment en cancĂ©rologie pour soutenir les patients qui ont besoin de reprendre le contrĂŽle sur certains symptĂŽmes bouffĂ©es de chaleur liĂ©es Ă  l’hormonothĂ©rapie, nausĂ©es d’anticipation liĂ©es Ă  la chimiothĂ©rapie, douleur en lien avec une sĂ©quelle opĂ©ratoire ou d’autre origine. Certains actes chirurgicaux peuvent se faire sous hypnose avec un accompagnement solide par exemple thyroĂŻdectomie, mastectomie en fonction de la durĂ©e de l’intervention, au confort du patient, et sur la demande du patient et lorsque les anesthĂ©siants sont contre-ndiquĂ©s. Les effets Ce que l’hypnose apporte au SOIGNANT ? Valorisant et gratifiant DĂ©veloppe l’imaginaire et aiguise l’intuition AuthenticitĂ© et crĂ©ativitĂ©++ Modification de la perception du travail par le soignant Embellie et enthousiasme Ce que l’hypnose apporte au PATIENT ? AmĂ©lioration de la relation soignant/soignĂ© AmĂ©lioration de la qualitĂ© de prise en charge du vĂ©cu de la douleur induite par les soins Autonomisation des patients++ Satisfaction des patients Ce que l’hypnose apporte au SERVICE ? Porteur de qualitĂ© Optimisation de la prise en charge du patient avec – diminution des drogues d’anesthĂ©sie – diminution de la durĂ©e de SSPI et de la durĂ©e du sĂ©jour – VĂ©cu du patient mieux maitrisĂ© lors des soins Retentissement sur l’humeur et l’ambiance dans le service Modifications comportementales perceptibles des acteurs L’hypno-analgĂ©sie DĂ©finition L’hypnose thĂ©rapeutique est une expĂ©rience relationnelle entre un patient et son thĂ©rapeute mettant en jeu des mĂ©canismes physiologiques et psychiques afin de mieux supporter, attĂ©nuer, voire supporter une pathologie douloureuse aigĂŒe ou chronique. Pas de sĂ©crĂ©tion d’opioĂŻdes endogĂšnes mais des mĂ©canismes plus complexes semblent empĂȘcher l’information d’atteindre le cortex somato-sensoriel et d’y contrĂŽler les informations au-niveau spinal. En imagerie = modification de l’activitĂ© cĂ©rĂ©brale de ces zones lors de l’émission de suggestions. L’hypnose et la pratique infirmiĂšre Initier des actes SELON 
 le rĂŽle propre infirmier CSP R4311-1 Ă  R4311- 2 Dans la prise en charge de la douleur
 l’infirmier se doit D’évaluer la douleur rĂŽle propreDe dĂ©terminer les actions nĂ©cessairesInformer le mĂ©decinAppliquer un protocoleMettre en place des actions du rĂŽle propre l’hypnoanalgĂ©sie en fait partie L’hypno-analgĂ©sie et les textes Il s’agit d’une mĂ©thode non pharmacologique correspondant au dĂ©veloppement des moyens non mĂ©dicamenteux incitĂ©s par le 3° plan douleur, mettant en Ɠuvre des pratiques psychocorporelles. Les textes relatifs Ă  la profession infirmiĂšre et concernant en particulier les compĂ©tences infirmiĂšres dans ce domaine sont muets » ; Aussi, certaines questions restent posĂ©es L’ hypnoanalgĂ©sie n’est pas un acte mĂ©dical donc
 ? La pratique fait partie des actes du rĂŽle propre infirmier ! Il est toutefois nĂ©cessaire d’avoir Ă©tĂ© formĂ© Ă  cette pratique pour AcquĂ©rir les bases de comprĂ©hension de l’hypnoseApprendre Ă  utiliser les diffĂ©rentes techniques utilisĂ©es en hypno analgĂ©sieIdentifier les limites de son champ d’action+++ Quelques balises L’hypnose est-elle un acte sur prescription ou pas ? L hypnose n’est pas une mĂ©thode de prise en charge donnant lieu Ă  une profession rĂšglementĂ©e – Aucun texte n’impose la prescription mĂ©dicale. L’hypno –analgĂ©sie /thĂ©rapie? Le soignant paramĂ©dical peut pratiquer l’hypno-analgĂ©sie dans le cadre de son dĂ©cret de compĂ©tences. Exception Pas de pratique d’hypnothĂ©rapie pour les infirmiers, formation rĂ©servĂ©e aux psy
 L’auto-hypnose Quelles utilitĂ©s Ă  pratiquer l’auto-hypnose L’auto-hypnose est utilisĂ©e pour son effet bĂ©nĂ©fique sur la douleur, la souffrance et l’inconfort de vie des patients. C’est la suite logique d’une prise en charge par l’hypnose mĂ©dicale, elle peut s’avĂ©rer efficace dans le traitement de la douleur aigĂŒe et chronique, la dĂ©pression, l’anxiĂ©tĂ©, les troubles du sommeil
. Les effets de l’hypnose La sensation de dĂ©tente mentale et de relaxation,L’attention soutenue et absorbĂ©e,L’absence de jugement, de contrĂŽle et de censure,La suspension de l’orientation temporo-spatiale et du sens de soi
 Une expĂ©rience d’involontaritĂ©. L’hypnose est un Ă©tat de conscience modifiĂ©e. C’est aussi un Ă©tat d’élargissement du conscient ouvert Ă  la suggestion. Pour comprendre l’hypnose, il faut comprendre ce qu’est une transe hypnotique et une suggestion. L’hypnose vient du dieu Hypnos qui Ă©tait dans la mythologie grecque le dieu du sommeil. Mais en hypnose, on ne dort jamais ; on s’approche Ă©normĂ©ment du somnambulisme, on n’est en aucun cas endormi. Lorsqu’un hypnotiseur tel que Mesmer dit Ă  un sujet dors », le sujet ne dort pas. L’ordre dors » est seulement un mot d4ancrage qui permet au sujet de se relĂącher de se dĂ©tendre. On commence Ă  parler d’hypnotisme en 1843 avec James BRAID qui parle de magnĂ©tisme animal, thĂ©orie fluidique. C’est un peu plus tard en 1880, qu’Ambroise-Auguste LIEBEAULT parle de suggestion hypnotique. Dans les annĂ©es 1900, Milton ERICKSON a rĂ©volutionnĂ© l’hypnose avec une hypnose non plus directive, mais une hypnose mĂ©taphorique. Notre inconscient comprend en effet trĂšs bien les mĂ©taphores. La transe est un Ă©tat naturel que nous avons en nous. Sur une pĂ©riode de 4 heures dans une journĂ©e, nous sommes Ă  peu prĂšs 20 minutes en transe. Il peut s’agir de 4 fois 5 minutes, 2 fois 10 minutes
 mais notre cerveau se met en veille, pendant laquelle il prĂ©sente une ouverture Ă  la suggestion. Par exemple, vous roulez en voiture depuis un certain temps, vous connaissez le chemin, vous roulez et d’un coup, vous partez dans vos pensĂ©es. Soudain, devant vous, çà freine, les feux stop du vĂ©hicule qui vous prĂ©cĂšde s’allument
 et là
 rĂ©flexe, vous freinez et vous avez cet espĂšce de rĂ©veil. Avant ce rĂ©veil, alors que vous Ă©tiez dans vos pensĂ©es, vous Ă©tiez en transe. Donc lors d’une transe pendant un sĂ©ance d’hypnose, le sujet n’est jamais inconscient ; il sait ce qui l’entoure, mais est dans un Ă©tat de conscience modifiĂ©e, et trĂšs ouvert Ă  la suggestion. La suggestion, c’est que va faire un hypnotiseur. S’il dit au sujet qu’il est complĂštement dĂ©tendu, relaxĂ©, il va l’ĂȘtre. S’il dit au sujet que sa main va s’envoler, l’inconscient va faire que la main du sujet va devenir lĂ©gĂšre et lĂ©viter. Le sujet est conscient et a l’impression que sa main se lĂšve toute seule mais c’est l’inconscient qui travaille. Donc en hypnose, le praticien parle Ă  l’inconscient. En hypnose thĂ©rapeutique, le praticien travaille avec tout le monde, car tout le monde est rĂ©ceptif Ă  l’hypnose, Ă  des degrĂ©s diffĂ©rents. On peut donc distinguer – l’hypnose de rue et l’hypnose de spectacle qui va s’adresser Ă  des personnes trĂšs rĂ©ceptives 20% de la population mondiale. Cette catĂ©gorie n’est pas dĂ©nuĂ©e de danger il existe des tutos sur internet montrent des inductions rapides le plus souvent, mais qui ne permettent pas de dĂ©tenir toutes les clĂ©s de l’hypnose et notamment comment rĂ©veiller une personne hypnotisĂ©e. – l’hypnose spirituelle qui parle de l’identitĂ© en soi, avec une transe trĂšs profonde. – et l’hypnose thĂ©rapeutique, de plus en plus reconnue notamment dans le traitement des addictions, du stress , l’anxiĂ©tĂ©, les phobies, la confiance en soi, mais aussi les allergies cutanĂ©es, les douleurs chroniques, le poids 
 Nous allons surtout nous intĂ©resser Ă  cette derniĂšre. Elle nĂ©cessite de bonnes bases. Tout d’abord le VAKOG. Visuel Auditif KinesthĂ©sique Olfactif Gustatif Ce sont nos 5 sens, qui vont nous permettre d’analyser les personnes. Il s’agit de bien les Ă©couter. Exemple lorsque le patient s’exprime vous voyez ce que je veux dire » visuel, vous comprenez ce que je veux dire » auditif, je prends les choses en main maintenant » kinesthĂ©sique, je ne sens pas cette situation » olfactif, ce qu’il m’a dit la derniĂšre fois, m’a laissĂ© un goĂ»t amer » gustatif. Les personnes disent qui elles sont. Seulement dans 7% des cas, les mots ont un impact, alors que dans 54% des cas, c’est le corps qui parle le plus, et dans 39% restants, c’est la voix, son intonation. L’hypnose permet aussi l’apprentissage des langues. Le sujet est en transe hypnotique profonde dans un Ă©tat de complĂšte relaxation. L’hypnose est donc un outil gĂ©nial qui est aussi utilisĂ© tout le temps, tous les jours, par les pubs, le marketing, les managers, les politiciens. Ils utilisent tous un langage hypnotique. Exemple le changement , c’est maintenant ». Il s’agit purement d’un langage hypnotique. Le changement »  de quoi ? C’est maintenant» c’est quand ? Chacun l’interprĂšte comme il veut. Ce qui est trĂšs utile quand on fait de la vente, ou dans les soins. Avec un langage hypnotique, le praticien va rechercher la transe et faire partir le sujet vers l’imaginaire. Un bon exemple est le bisou magique » qu’on va faire avant un soin. En tant que professionnels de santĂ©, nous infligeons des douleurs Ă  nos patients. Tous gestes confondus, l’intensitĂ© douloureuse est rapportĂ©e comme Ă©tant intense, mĂȘme extrĂȘmement intense dans 57% des cas. Chez l’enfant porteur d’un cancer, 49% des patients soulignent que c’est la douleur liĂ©e au traitement qui est la plus difficile Ă  supporter. Comment gĂ©rer cette douleur ? Pour commencer, nous avons un cerveau mais 2 hĂ©misphĂšres. L’hĂ©misphĂšre cĂ©rĂ©bral gauche est l’hĂ©misphĂšre cĂ©rĂ©bral du Conscient, le scientifique, le rationnel, le logique, celui qui calcule. Il rĂ©git environ 15% de l’activitĂ© neurologique. L’hĂ©misphĂšre droit est l’hĂ©misphĂšre cĂ©rĂ©bral de l’Inconscient. C’est l’anticipation, l’imagination, la crĂ©ativité  Il rĂ©git 85% de l’activitĂ© neurologique. Cet hĂ©misphĂšre ne comprend pas la nĂ©gation. Si on vous demande de ne surtout pas penser Ă  une superbe Ferrari rouge. Quelle image avez-vous en tĂȘte ?
 Une Ferrari rouge, puisque l’inconscient ne comprend pas la nĂ©gation. Nous pouvons faire le lien avec nos patients auxquels nous disons souvent Ne bougez pas », n’ayez pas peur », vous n’avez pas froi ? » çà ne va pas vous faire trop mal »,
 Au final, que retient la patient ? Eh bien les termes plutĂŽt Ă  connotation nĂ©gative bougez, peur, froid, trop mal
 Il faut donc supprimer ces termes de notre langage, pour utiliser des termes Ă  connotation positive restez tranquille », rassurez-vous », avez-vous suffisamment chaud », çà va se dĂ©rouler parfaitement bien »,.. En utilisant ces termes, nous allons insister sur la tranquillitĂ©, la dĂ©tente, la chaleur, le dĂ©roulement parfait. Selon une Ă©tude amĂ©ricaine proposĂ© par un mĂ©decin radiologue, le Dr Elvira LANG, sur la communication soignant-soignĂ© relative aux soins mĂ©dicaux et paramĂ©dicaux sur un groupe de 160 patients, plus le patient est prĂ©venu de la douleur, plus il est anxieux et douloureux. Donc modifions notre façon de communiquer. Par ailleurs, le cerveau dispose une neuromatrice, c’est Ă  dire un regroupement de rĂ©gions cĂ©rĂ©brales qui sont activĂ©es lorsqu’une douleur est ressentie. Donc, si nous devons rĂ©aliser un prĂ©lĂšvement sanguin, dire au patient »je vais vous piquer », gĂ©nĂšre l’anticipation de la douleur. En effet, la neuromatrice s’active de 40%, c’est-Ă -dire que le patient fabrique de la douleur, perçoit, ressent une douleur de 40% alors que nous n’avons pas commencĂ© Ă  piquer. Nous pouvons faire le lien avec la fonction d’anticipation, d’imagination de l’hĂ©misphĂšre droit. Nous avons tous vĂ©cu cette situation de soin dans laquelle le paient est tendu, crispĂ© alors que nous n’avons fait que le prĂ©venir. Donc, il convient de ne pas prĂ©venir pour Ă©viter l’anticipation mais trouver la juste communication. En effet, il ne s’agit pas de prendre le patient par surprise, mais de se positionner entre les deux. La douleur n’est pas que de la douleur, elle est anticipĂ©e ce qui gĂ©nĂšre de l’anxiĂ©tĂ© et donc l’attention est focalisĂ©e sur la douleur et plus on focalise, plus on a mal
 bref un cercle vicieux. Nous allons travailler sur la focalisation de l’attention sur la douleur et dĂ©focaliser le patient de sa douleur pour diminuer l’anticipation et l’anxiĂ©tĂ©, voire supprimer la sensation de douleur. Quand l’esprit est ailleurs, le corps ne souffre pas. Comment faire ? La technique de dĂ©focalisation qui va apporter un confort absolu au patient, qui est accessible Ă  tous, qui ne nĂ©cessite pas de don particulier pour un soin rĂ©ussi. Cette technique est rapide Ă  mettre en Ɠuvre et la formation Ă  cette technique est courte 3 jours il s’agit de
l’hypnose ou plutĂŽt l’hypno-analgĂ©sie, mĂ©thode naturelle, sans danger et simple Ă  mettre en oeuvre
 Dans cette formation les apprenants travaillent sur l’anticipation de la douleur, supprimer le vocabulaire nĂ©gatif et apprendre les techniques de communication, travailler sur la focalisation de la douleur et dĂ©focaliser le patient de sa douleur en l’amenant ailleurs en provoquant un Ă©tat modifiĂ© de conscience
 c’est Ă  dire agir sur tous ces paramĂštres qui construisent la douleur, cette douleur complĂšte qui nous pose tant de problĂšmes lors de la prise en soin des patients douloureux lors des soins.
Al’Institut Français d’Hypnose Humaniste & Ericksonienne, nous avons Ă  cƓur de prĂ©server la puretĂ© du modĂšle d’Erickson et de vous transmettre la PNL selon son modĂšle d’origine, celui de Richard Bandler et John Grinder. Tout cela enrichi des apports de la Nouvelle Hypnose, d’une portĂ©e plus large et plus profonde.
La sieste fait grossir ? Vous vous demandez si faire la sieste fait grossir ? A ce sujet, de nombreuses opinions divergent chez les experts. C'est pourquoi, apporter une rĂ©ponse claire et prĂ©cise Ă  cette question est plutĂŽt difficile car de nombreux facteurs, comme la durĂ©e de la sieste, l'Ăąge et les caractĂ©ristiques physiques... 12 Astuces pour s'endormir Bien se reposer, en dormant une moyenne de 8 heures, est absolument essentiel pour ĂȘtre en bonne santĂ© et jouir d'une bonne qualitĂ© de vie. Aussi bien Ă  niveau physique, mental et Ă©motionnel, le sommeil a un rĂŽle rĂ©parateur pour l'ensemble de l'organisme. Les altĂ©rations du sommeil les plus sĂ©vĂšres,... Cigarette Ă©lectronique ce qu'il faut savoir AppelĂ©e cigarette Ă©lectronique, e-cigarette ou encore vapoteuse, cela fait maintenant un peu plus d’une petite dĂ©cennie que nous voyons arriver cette alternative Ă  la cigarette sur le marchĂ©. 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Comment l'alcool agit sur le cerveauDifficultĂ© faible Le fait de consommer de l'alcool que ce soit en petite ou en grande quantitĂ©, anecdotiquement ou tous les jours, conduit Ă  des modifications du comportement et de la perception du rĂ©el comme avec toute drogue. L'alcool n'est autre qu'une drogue lĂ©gale, classĂ©e parmi les produits psychoactifs Ă  l'instar... Comment calmer les maux d'estomac dus au stressDifficultĂ© moyenne Vous ĂȘtes stressĂ© ou souffrez d'un autre problĂšme nerveux ? Si vous ressentez le stress s'accumuler dans la zone de l'estomac, vous faites probablement une indigestion, une gastrite ou un autre trouble similaire qui affecte le systĂšme digestif. Dans cet article de toutComment, nous vous recommandons quelques remĂšdes... Comment Ă©viter les pensĂ©es obsessionnellesDifficultĂ© moyenne Des pensĂ©es vous tourmentent et vous empĂȘchent de vous concentrer ? 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Quelle est la diffĂ©rence entre addiction et dĂ©pendance L'on parle de plus en plus de nos jours de nouvelles formes d'addiction et de dĂ©pendance, notamment avec l'arrivĂ© des nouvelles technologies et d'internet, qui viennent d'ajouter Ă  la liste dĂ©jĂ  longue des substances addictives comme les drogues et les mĂ©dicaments. On parle souvent de maniĂšre indiffĂ©renciĂ©e... Quelle diffĂ©rence entre psychose et nĂ©vrose Psychose et nĂ©vrose sont des troubles du psychisme. Le psychisme est un concept clef en psychanalyse il englobe les processus de l'esprit qu'il soit conscient ou inconscient. PsychĂ© est synonyme de psychisme. Comment ne plus ĂȘtre triste DifficultĂ© moyenne Vous ĂȘtes triste ? Si la rĂ©ponse est oui, vous ne devriez pas vous laisser abattre par ce sentiment. Vous pouvez vous sentir tristes, abattus, de mauvaises humeurs, peu motivĂ© ou pas en mesure de faire face Ă  vos problĂšmes actuels, mais il ne faut pas que vous laissiez ces pensĂ©es vous affecter trop et... Quels sont les effets de l'opium Nous tenons Ă  vous rappeler que l'opium est illĂ©gal dans la plupart des pays. Nous verrons ici quels sont les effets de l'opium. L'opium est le liquide extrait de la plante de pavot. Il est utilisĂ© pour la confection de certains mĂ©dicaments et d'autres drogues comme l'hĂ©roĂŻne. Il est considĂ©rĂ© comme... Comment travailler l'estime de soiDifficultĂ© faible Il est possible de travailler l'estime de soi. Lorsque vous vous regardez dans le miroir vous ne vous aimez pas ? Vous croyez que tout ce que vous faites, vous le faites mal ? Cela signifie que vous avez une estime de soi trĂšs faible, et quelle qu'en soit la raison, il ne faut pas que vous ignoriez ces... Comment aider une personne atteinte de TOCDifficultĂ© faible Lorsque nous parlons d'une personne souffrant de TOC trouble obsessionnel compulsif, nous nous rĂ©fĂ©rons Ă  ce type de situation dans laquelle une personne ne peut pas contrĂŽler une sĂ©rie d'actions permettant de limiter son anxiĂ©tĂ©. Si vous connaissez une personne qui suit routine exacte lorsqu'elle sort... Comment contrĂŽler son agressivitĂ©DifficultĂ© faible Est-il difficile de maintenir le contrĂŽle lorsque vous discutez? Beaucoup de gens trouvent qu'il est trĂšs difficile de contrĂŽler leur colĂšre ou leur rage lorsqu'elle apparaĂźt dans certaines situations quotidiennes. Les conflits au travail, en couple et mĂȘme la conduite sur la route peuvent provoquer... Comment Ă©viter le stress et l'anxiĂ©tĂ© L'anxiĂ©tĂ© est l'un des symptĂŽmes associĂ©s au stress physique ou Ă©motionnel et se produit souvent dans les moments de grand stress ou de frustration. Pour Ă©viter ces situations qui peuvent vous affecter physiquement et mentalement, nous allons vous expliquer Comment Ă©viter le stress et l'anxiĂ©tĂ© avec plusieurs... Comment aider une personne atteinte du trouble de la personnalitĂ© Ă©vitante DifficultĂ© faible Sur nous vous avons expliquĂ© comment identifier le trouble de la personnalitĂ© Ă©vitante. Il faut savoir que les personnes atteintes de ce trouble ne cessent de penser Ă  leurs limites en n'Ă©tablissant des rapports avec les autres personnes que si elles sont sĂ»res qu'elles ne seront pas rejetĂ©es.... Comment couper l'envie de manger Voyons comment couper l'envie de manger par quelques trucs simples. On a tous ressenti au moins une fois une envie irrĂ©pressible de manger et gĂ©nĂ©ralement la nourriture dont on a envie n'est pas trĂšs saine, un morceau de gĂąteau, une part de pizza, un bonbon au chocolat, et cetera. Cette faim n'est pas... Comment traiter un trouble bipolaire DifficultĂ© moyenne Dans cet article de toutComment, nous allons vous expliquer comment traiter le trouble bipolaire et vous prĂ©senter les tests mĂ©dicaux gĂ©nĂ©ralement rĂ©alisĂ©s pour les dĂ©tecter, ainsi que les mĂ©dicaments et les thĂ©rapies qui permettent de surmonter les consĂ©quences de la maladie. Le trouble bipolaire est une... Comment ĂȘtre plus positif DifficultĂ© faible Maintenir une attitude positive face Ă  la vie n'est pas toujours facile. Cependant il est important de faire de petits efforts quotidiens pour y parvenir et assurer votre bonheur. Être une personne positive est crucial dans la construction d'une bonne estime de soi, pour augmenter les chances de succĂšs... Dormir beaucoup Est-ce bon ou mauvais ? DifficultĂ© faible Nous le savons trĂšs bien, que si nous ne dormons pas bien, le lendemain, nous en subissons les consĂ©quences et il nous est difficile de mener Ă  bien les activitĂ©s quotidiennes. Cependant, que se passe-t-il si vous dormez beaucoup ? Certaines personnes pensent qu'elles se sentent mieux lorsqu'elles dorment... Comment aider un ado qui a des TOCDifficultĂ© faible Le trouble obsessionnel compulsif peut survenir dĂšs l'enfance. Ainsi, dans les familles ayant des enfants ou des ados qui souffrent de TOC, il est important que les parents sachent comment aider leurs fils au quotidien de la maniĂšre la plus normale et la moins incapacitante possible. Que votre fils... Comment libĂ©rer des endorphines Les caresses, les rires, avoir des relations sexuelles et mĂȘme contact avec la nature crĂ©e des endorphines dans votre organisme qui procurent un sentiment de bonheur. Les endorphines sont des molĂ©cules libĂ©rĂ©es par le systĂšme nerveux lorsque vous rĂ©alisez des actions qui vous sont agrĂ©ables ou lorsque... Comment savoir si quelqu'un est cleptomane DifficultĂ© faible Pas facile de savoir avec certitude si quelqu'un est cleptomane... La cleptomanie est la pulsion irrĂ©sistible de voler des objets qui n'ont aucune valeur commerciale ni personnelle pour la personne. 5% des vols sont attribuĂ©s Ă  des personnes souffrant de cleptomanie. Les objets volĂ©s ne sont pas d'une... Lanorexie est une maladie grave entraĂźnant une modification des comportements alimentaires en raison d'un trouble de la santĂ© mentale. Il s'agit d'une maladie qui affecte autant les hommes que les femmes et qui peut nuire gravement Ă  la santĂ© des personnes qui en souffrent. Il est donc essentiel de savoir
le Psychanalyse c'est une discipline complexe, et elle a reçu des Ă©loges et des critiques dans une Ă©gale mesure au cours des siĂšcles passĂ©s. L'une des choses en psychanalyse qui suscite le plus d'inquiĂ©tude est la Hypnose Que peut-il arriver Ă  la personne en Ă©tat d'hypnose ? 10 mythes sur l'hypnose, expliquĂ©s Malheureusement, il existe actuellement mythes et malentendus sur ce qu'est l'hypnose et comment elle fonctionne. Les Ă©missions de tĂ©lĂ©vision ont contribuĂ© Ă  instiller une certaine peur et des apprĂ©hensions quant Ă  la pratique de l'hypnose. Les stĂ©rĂ©otypes créés conduisent les gens Ă  avoir de fausses croyances et Ă  ĂȘtre rĂ©ticents Ă  la thĂ©rapie basĂ©e sur l'hypnose. Aujourd'hui, nous allons rĂ©soudre Les 10 mythes les plus rĂ©pandus sur l'hypnose. 1. Les gens en Ă©tat d'hypnose sont-ils en Ă©tat d'inconscience ? Ce n'est pas comme ça. En rĂ©alitĂ©, la personne en Ă©tat d'hypnose Ă©prouve une amĂ©lioration de sa concentration et parvient Ă  se concentrer de maniĂšre inhabituelle. Le patient est conscient Ă  tout moment pendant le processus d'hypnose. 2. L'hypnose est-elle un Ă©tat onirique ? Ce mythe est largement rĂ©pandu grĂące Ă  l'idĂ©e, Ă©galement erronĂ©e, que pour entrer dans un Ă©tat hypnotique le patient doit avoir les yeux fermĂ©s. Fermer les yeux, efficacement, peut aider Ă  amĂ©liorer la concentration et est donc quelque chose qui favorise l'Ă©tat d'hypnose, mais un patient qui garde les yeux ouverts peut aussi devenir hypnotisĂ©. Dans ces cas, on l'appelle souvent hypnose active ». 3. Pendant l'hypnose, le thĂ©rapeute peut-il manipuler » les souhaits ou les actions du patient ? Sans une rĂ©elle volontĂ© de la part du patient de se soumettre au processus d'hypnose, l'hypnose ne peut exister. Il est impossible d'induire l'Ă©tat de focalisation attentionnelle de l'hypnose si le patient ne collabore pas au processus. De toute façon, le thĂ©rapeute n'a aucun contrĂŽle sur la volontĂ© du sujet. Le patient a Ă  tout moment la capacitĂ© attentionnelle de prendre ses propres dĂ©cisions. Au cas oĂč le thĂ©rapeute ordonnerait » au patient de faire quelque chose contre sa volontĂ©, il quitterait l'Ă©tat hypnotique. 4. Pendant l'Ă©tat d'hypnose, est-il vrai que le patient peut se souvenir avec prĂ©cision de tout ce qui s'est passĂ© au cours de sa vie ? Non ce n'est pas vrai. Ce qui se passe, c'est que, Ă  certaines occasions, le patient peut dĂ©velopper des histoires sur des moments de sa vie qui ne se limitent pas Ă  ce qui s'est rĂ©ellement passĂ©. 5. Quel pouvoir » l'hypnotiseur doit-il possĂ©der pour pouvoir hypnotiser les patients ? Il ne s'agit pas d'avoir des pouvoirs ou des dons surnaturels. Tout professionnel correctement formĂ© et qualifiĂ© peut utiliser le processus d'hypnose pour traiter les patients. 6. Les patients se souviennent-ils de ce qui s'est passĂ© pendant qu'ils ont Ă©tĂ© hypnotisĂ©s ? La grande majoritĂ© des gens sont capables de se souvenir de tout ou presque tout ce qui s'est passĂ© pendant le processus d'hypnose. 7. L'hypnose est-elle une thĂ©rapie ? Pas exactement. L'hypnose n'est pas une thĂ©rapie en soi. L'hypnose est une technique spĂ©cifique qui peut ĂȘtre utilisĂ©e avec de bons rĂ©sultats et pour favoriser certains changements dans le sujet. On pourrait dire que les patients ne sont pas traitĂ©s avec » l'hypnose, mais plutĂŽt sous » hypnose et toujours avec le soutien d'autres techniques, processus et outils que le thĂ©rapeute manipule. 8. Les personnes les plus susceptibles d'ĂȘtre hypnotisĂ©es sont-elles moins intelligentes ou quelque chose de similaire ? Non. En fait, c'est plutĂŽt l'inverse. Il existe une corrĂ©lation positive bien que pas trĂšs forte, en fait entre le intelligence du patient et de son hypnotisabilitĂ© ». Par consĂ©quent, ce sont les personnes les plus intelligentes qui peuvent atteindre plus facilement l'Ă©tat de concentration de l'attention. 9. L'hypnose est-elle dangereuse ou comporte-t-elle une sorte de risque ? Aucun cas n'a Ă©tĂ© signalĂ© de personne ayant subi des dommages physiques ou psychologiques causĂ©s par une sĂ©ance d'hypnose. De nombreuses personnes sont hypnotisĂ©es chaque jour par des centaines de professionnels, et la plupart non seulement ne dĂ©clarent aucun prĂ©judice, mais tout le contraire. 10. Le patient hypnotisĂ© pourrait-il rester en Ă©tat de transe en permanence si le thĂ©rapeute ne le rĂ©veille pas ? Comme dĂ©jĂ  mentionnĂ©, les personnes qui subissent le processus d'hypnose peuvent sortir de cet Ă©tat quand elles le souhaitent. Il ne faut pas oublier que l'Ă©tat de concentration de l'attention n'est pas synonyme d'endormissement. Par consĂ©quent, il est impossible de rĂ©veiller quelqu'un qui ne dort pas, car il est dĂ©jĂ  rĂ©veillĂ© ! La vĂ©ritĂ© est que, pendant le processus d'hypnose et en raison de la soustraction de relaxation atteint, le sujet pourrait s'endormir, mais ce serait un Ă©tat tout Ă  fait conventionnel et pourrait se rĂ©veiller tout seul sans avoir besoin de l'aide du thĂ©rapeute.
Toutesles personnes qui sont intĂ©ressĂ©es par l’hypnose et qui souhaiteraient faire un stage avec l’A.F.H., donc l’Association française de d’Hypnose avec Gabriel, Jean Pierre et Brieuc, une autre personne qui n’habite pas Ă  Paris et qui n’est pas lĂ . Une personne qui s’appelle Brieuc du Garay qui est assez connu d’ailleurs dans le monde de l’hypnose.
Non, l'hypnose c'est pas de l'arnaque, ni de la magie. C'est une mĂ©thode de plus en plus utilisĂ©e en mĂ©decine et dans des domaines trĂšs divers. Mais au fait, Ă  quoi peut-elle bien servir et comment ça marche ? C'est quoi l'hypnose ? L'Ă©tat hypnotique est ce que l'on appelle un Ă©tat de conscience modifiĂ©. Il se situe entre l'Ă©veil et le sommeil. Ca ressemble Ă  l'Ă©tat de rĂȘverie de tous les jours, celui dans lequel tu es quand tu marches dans la rue et que t'es un peu dans la lune au point de croiser quelqu'un que tu connais et que tu ne vois mĂȘme pas... Habituellement, cet Ă©tat survient spontanĂ©ment, sans qu'on le recherche. La particularitĂ© de l'hypnose, c'est qu'elle recherche cet Ă©tat particulier et le un don pour faire de l'hypnose ? Pas du tout. Hypnotiser quelqu'un, ça s'apprend. Il faut parler d'une maniĂšre trĂšs particuliĂšre, Ă©viter certains mots et au contraire en rĂ©pĂ©ter d'autres, respirer d'une certaine maniĂšre, Ă  se mettre en phase avec leur patient, Ă  moduler leur voix...A quoi sert l'Ă©tat hypnotique ? Quand une personne est dans cet Ă©tat de conscience modifiĂ©e, son cerveau fonctionne diffĂ©remment. On peut ainsi contourner ses rĂ©sistances, ses blocages et dĂ©coincer certaines situations de maniĂšre naturelle. L'Ă©tat hypnotique est donc un outil qui permet de faire un travail psychologique bien plus efficace. Si le thĂ©rapeute dit quelque chose Ă  son patient, en Ă©tat hypnotique, ce qui est dit a un effet bien plus puissant que s'il parlait comme on le fait fait-on une fois la personne en Ă©tat d'hypnose ? Le mĂ©decin ou le psy envoie des suggestions indirectes de changement. En clair, il dit Ă  son patient que son cerveau pourrait trĂšs bien fonctionner autrement, de maniĂšre Ă  ce qu'il se sente mieux. Et il lui demande, Ă  ce cerveau, de trouver d'autres maniĂšres plus adaptĂ©es de fonctionner. Les suggestions indirectes peuvent par exemple se faire par des mĂ©taphores. A une jeune femme bloquĂ©e sexuellement et qui est amoureuse, le psy peut raconter l'histoire de la belle au bois dormant que son prince a rĂ©veillĂ©e... afin de lui faire comprendre indirectement qu'avec la bonne personne, sa libido pourrait s'Ă©veiller ! C'est dit de maniĂšre indirecte, afin de ne pas provoquer de blocage, mais au contraire, d'aller plus profondĂ©ment et directement dans le cerveau plus primitif sans provoquer de qu'on dort quand on est en Ă©tat d'hypnose ? Pas du tout ! On est mĂȘme plutĂŽt en Ă©tat d'hyperĂ©veil intĂ©rieur. Les professionnels parlent souvent d'Ă©veil paradoxal. La personne en Ă©tat d'hypnose a l'air endormi, mais en fait, dans sa tĂȘte, elle est trĂšs bien rĂ©veillĂ©e. Son cerveau fonctionne Ă  fond !Pour quoi utilise-t-on l'hypnose ? On l'utilise pour l'analgĂ©sie anesthĂ©sie, chez le dentiste par exemple, pour les phobies, pour le manque de confiance en soi, pour toutes les peurs irraisonnĂ©es, pour les problĂšmes de peau liĂ©s au stress, pour l'asthme liĂ©e parfois aussi au stress, et pour toutes sortes de blocages. L'hypnose peut aussi s'avĂ©rer efficace dans l'aide Ă  l'arrĂȘt du tabac, pour perdre du poids... Comment se passe une sĂ©ance d'hypnose ? Tu fermes les yeux et tu Ă©coutes. Le psy te demande simplement d'Ă©couter, ou de ne pas Ă©couter. Car tu vas dĂ©crocher par moment, ce qui est normal, et mĂȘme recherchĂ©. Il faut se laisser porter. TrĂšs souvent, la sĂ©ance paraĂźt courte car il existe une distorsion du temps. Ton cerveau n'enregistre pas de la mĂȘme maniĂšre le temps qui passe quand il est en Ă©tat hypnotique. Ensuite, quand la sĂ©ance est finie, tu te sens gĂ©nĂ©ralement bien et relaxĂ©. Dans les jours qui suivent, tu peux parfois observer des rĂȘves inhabituels, des changements inattendus ou attendus ! Il faut souvent plusieurs sĂ©ances pour rĂ©soudre un problĂšme mais c'est aussi parfois trĂšs rapide, quasi magique. Tu connais des gens autour de toi qui ont Ă©tĂ© hypnotisĂ©s ? Peut-ĂȘtre toi-mĂȘme ? C'Ă©tait efficace ? Vas-y raconte ! -Teste-toi Teste ton stress...Va voir aussi C'est quoi une phobie ?La thĂ©rapie comportementaleTrace sur le forum Je suis malade ? Mais je me soigne ! - Deviens Fan de Tasante sur Facebook ! Rejoins le groupe Tasante sur Skyrock ! Follow Tasante sur Twitter ! Dr Catherine Solano et le 28/04/2011 Envoie ton tĂ©moignage !
Avecun regard bien orientĂ© et un regard fixe, il est possible pour les gens de communiquer leurs signaux et leurs suggestions Ă  une autre personne de façon non verbale. Cela ira un long chemin vers permettre l’hypnotiser secrĂštement quelqu’un. La confiance joue un rĂŽle majeur pour hypnotiser secrĂštement quelqu’un

L'hypnose est un Ă©tat modifiĂ© de conscience EMC que nous pratiquons tous inconsciemment, comme lorsqu'on est plongĂ© dans un bon livre, absorbĂ© par la contemplation d'un feu dans la cheminĂ©e, ou encore lorsque on est perdu dans nos pensĂ©es. Le stress est un Ă©tat normal » pour l'organisme qui va mobiliser toutes les Ă©nergies disponibles pour les muscles et le cerveau pour faire face Ă  une situation dites stressante. On peut considĂ©rer ce stress comme un bon stress, court sur la durĂ©e et suffisamment rare pour que chacune de ses interventions soient pleinement efficaces. Comme nous le savons tous, la sociĂ©tĂ© moderne trĂ©pidante, gĂ©nĂšre un stress permanent sur les individus, qui fatigue l'organisme par une stimulation constante et une surproduction d'Ă©nergie disproportionnĂ©e et une automatisation des processus de stress alors que les situations rĂ©elles ne justifient pas l'Ă©mission de signaux d'alerte. 1/ Le stress, son fonctionnement et ses effets sur l'organisme quelles consĂ©quences pour la santĂ© ? Comment le stress Ă©puise jusqu'Ă  rendre malade ? Nous avons vu que le stress Ă©tait une rĂ©action physiologique normale survenant en cas de pression soudaine ou d’agression, rĂ©elle ou imaginaire, par notre environnement. D'une maniĂšre ou d'une autre nous sommes tous plus ou moins exposĂ©s au stress, mais les rĂ©actions sont diffĂ©rentes d'un individu Ă  l'autre. Chez les personnes les plus vulnĂ©rables physiquement ou psychologiquement, le stress va entraĂźner de l’angoisse, de l'anxiĂ©tĂ© souvent chronique et se trouver responsable de nombreux syndromes psychologiques comme la dĂ©pression, le surmenage, l'hyperactivitĂ© ou l’alcoolisme, mais Ă©galement de dysfonctionnements et de douleurs tout Ă  fait physiques comme les maladies cardio-vasculaires. DiffĂ©rencier le stress aigu du stress chronique Le stress dit aigu est celui rĂ©pondant Ă  un Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur tel que l’attente d’une dĂ©cision importante pour vous ou un proche ou la perspective de devoir faire un discours devant du public par souvent un stress de courte durĂ©e Ă  effets positifs sur l’organisme car il va augmenter les performances nĂ©cessaires Ă  la rĂ©solution immĂ©diate du problĂšme. Cependant, lorsque la situation de stress dure beaucoup plus longtemps ou lorsque les Ă©pisodes de stress sont trĂšs frĂ©quents ou que l'individu ne rĂ©agit pas de maniĂšre correcte au stress, l’organisme s'installe alors dans une phase d’épuisement. En effet, les taux d'hormones pour contrer le stress devront ĂȘtre fournis en permanence, Ă©puisant ainsi les ressources Ă©nergĂ©tiques mobilisĂ©es par l’organisme. L’une d'entre elles, l'hormone de cortisol, stopperait ainsi la production de neurones au niveau de l’hippocampe, ce qui conduirait Ă  la manifestation de signes dĂ©pressifs. Le stress un boulevard pour les maladies cardio-vasculaires A la longue, le stress chronique dĂ©velopperait l’apparition de nombreuses maladies et en aggraveraient l’évolution. Le stress chronique agit nĂ©gativement sur la santĂ© cardio-vasculaire en influant notamment sur l'hypertension, multipliant ainsi le risque d'infarctus du myocarde par deux, A noter que les risques cardiaques sont certainement modulĂ©s par les diffĂ©rents profils psychologiques auxquels nous correspondons En effet, on s’intĂ©ressera Ă©galement aux profils psychologiques associĂ©s au risques cardio-vasculaires, ce qui constitue une approche plus fine dans le processus de repĂ©rage des facteurs de stress. En rĂ©sumĂ©, cette approche admet qu’un dĂ©sĂ©quilibre entre les caractĂ©ristiques d’une et les exigences de son environnement propre est Ă  la base de l'intervention du stress. On pourrait mĂȘme considĂ©rer que ce dĂ©sĂ©quilibre aurait plus d'impacts nĂ©gatifs que la nature des agents responsables du stress d'origine. Certains profils comportementaux seraient donc susceptibles d’ĂȘtre plus des sujets Ă  risque face Ă  ces dĂ©sĂ©quilibres. Par exemple certains profils comportementaux associĂ©s Ă  la convoitise, au culte de la performance et Ă  la rĂ©alisation de choses en un temps record engendreraient des risques accrus d’infarctus du myocarde. D'autres caractĂ©ristiques de la personnalitĂ© influent Ă©galement, comme les tendances Ă  l’hostilitĂ©, l’affectivitĂ© nĂ©gative facilitĂ© Ă  Ă©prouver de l’anxiĂ©tĂ©, du dĂ©couragement, de l’irritabilitĂ©... ou encore l’inhibition et la difficultĂ© dans les relations sociales. En plus des maladies cardio-vasculaires, le stress chronique pourrait mener Ă  de nombreuses autres affections et maladies comme des infections cutanĂ©es, des problĂšmes de glycĂ©mie et de diabĂšte, ainsi que de nombreuses formes de cancer. En France, des hypnothĂ©rapeutes sont spĂ©cialisĂ©s sur la gestion du stress avec l'hypnose, comme le cabinet hypnose rennes qui accompagne exclusivement sur cette problĂ©matique. 2/ Histoire de l'hypnose, et Ă©volution vers l'hypnose thĂ©rapeutique et l'hypnose mĂ©dicale que nous connaissons aujourd'hui. DĂ©jĂ  utilisĂ©e dans l’Égypte ancienne il y a 3000 ans, dans la GrĂšce antique Ă©galement, l'hypnose est une pratique qui a longtemps Ă©tĂ© associĂ©e Ă  tort Ă  la magie spectacle et au magnĂ©tisme animal » cf Mesmer Elle Ă©tait utilisĂ©e pour soigner mais aussi pour prĂ©dire l'avenir et amĂ©liorer la clairvoyance Plus tard, en 1843, le terme d'hypnose est officialisĂ©e par un chirurgien anglais, James Braid qui formalisa les principes scientifiques nĂ©cessaires Ă  la comprĂ©hension du phĂ©nomĂšne. Pour James BRAID,le magnĂ©tisme animal dont parle MESMER n'existe pas et il met au point une lecture codifiĂ©e moderne de ce phĂ©nomĂšne de modification de conscience en donnant le nom d'hypnotisme Ă  ses techniques, affirmant que l'hypnotisme est produit par la concentration sur une cause physique. James BRAID a mis en exergue le fait que hypnotiser relevait plus d'un savoir que d'un pouvoir. En effet, pour lui, hypnotiser est d'abord un savoir scientifique, de psychologie et de savoir-faire. Il a dĂ©montrĂ© l'importance du savoir-ĂȘtre de l'hypnotiseur et de la relation de confiance devant s'installer avec le sujet. L'hypnotiseur va remplir uniquement le rĂŽle qui lui est confiĂ© par l'individu bĂ©nĂ©ficiaire de la sĂ©ance d'hypnose. Milieu du XIX iĂšme siĂšcle, on notera l'utilisation de l'hypnose dans leurs pratiques par Morton Prince et Benjamin Rush aux USA. Et par Charcot et Bernheim en France Ă  la fin du mĂȘme siĂšcle Suite Ă  un stage effectuĂ© chez Charcot, Freud, Ă©galement, utilisera l'hypnose pendant une dizaine d'annĂ©es dans sa pratique, mettant en Ă©vidence le concept d'inconscient ainsi que les vertus thĂ©rapeutiques de la catharsis, c'est-Ă -dire l'expression de contenus inconscients prĂ©cĂ©demment refoulĂ©s par le conscient. Dans les annĂ©es 50-60 le Dr Milton Erickson, considĂ©rĂ© comme le pĂšre des thĂ©rapies brĂšves aux USA, rĂ©volutionne la pratique et la comprĂ©hension de l'hypnose thĂ©rapeutique en mettant en Ă©vidence que la rĂ©ussite thĂ©rapeutique repose sur la conviction que le patient possĂšde en lui les ressources pour rĂ©pondre de maniĂšre appropriĂ©e aux situations qu'il rencontre il s'agit par consĂ©quent d'utiliser ses compĂ©tences et ses possibilitĂ©s d'adaptation personnelles. En France c'est le Dr Jean Godin qui fut le premier spĂ©cialiste français de l’hypnose Ă©ricksonienne. Il proposera la dĂ©finition suivante de l'hypnose l’hypnose est un mode de fonctionnement psychologique dans lequel un sujet, grĂące Ă  l'intervention d'une autre personne, parvient Ă  faire abstraction de la rĂ©alitĂ© environnante, tout en restant en relation avec l'accompagnateur. Ce dĂ©branchement de la rĂ©action d'orientation Ă  la rĂ©alitĂ© extĂ©rieure », qui suppose un certain lĂącher-prise, Ă©quivaut Ă  une façon originale de fonctionner Ă  laquelle on se rĂ©fĂšre comme Ă  un Ă©tat. Ce mode de fonctionnement particulier fait apparaĂźtre des possibilitĂ©s nouvelles par exemple des possibilitĂ©s supplĂ©mentaires d'action de l'esprit sur le corps, ou de travail psychologique Ă  un niveau inconscient. En utilisation mĂ©dicale l’hypnose est reconnue pour ses effets analgĂ©siques car elle permet de modifier radicalement la perception sensorielle et la perception de la douleur. Elle complĂšte voire substitue parfois dans certains cas, les sĂ©datifs Utilisation de l'hypnose pour combattre le stress , la peur, la phobie, l'anxiĂ©tĂ©, l'angoisse et le stress post-traumatique. L'inconscient va comprendre les mots de maniĂšre littĂ©rale. Il est beaucoup plus rapide, plus crĂ©atif, toujours actif, vit constamment au prĂ©sent et de façon autonome par rapport au conscient Il est Ă©galement un des rĂ©gulateurs de nos fonctions biologiques, un rĂ©servoir de connaissances et le siĂšge de notre mĂ©moire. L'inconscient est une sorte de guide intĂ©rieur dont la mission est de nous protĂ©ger et nous prĂ©server en toutes circonstances et tous lieux D 'aprĂšs Jung, il offre la possibilitĂ© d'un lien avec l'inconscient collectif La pratique de l'hypnose peut faire Ă©prouver au patient, diffĂ©rentes sensations qui peuvent ĂȘtre ‱ des sensations au niveau du corps comme la chaleur, des fourmillements, du froid, de la lourdeur, ou au contraire de la lĂ©gĂšretĂ© ‱ de se sentir, en mĂȘme temps, ici et ailleurs. ‱ d'avoir une grande facilitĂ© Ă  se rappeler ses souvenirs. ‱ d'avoir la sensation d'ĂȘtre, d'exister . ‱ les perceptions de l'environnement extĂ©rieur n'ont plus d'importance. ‱ l'impression d'avoir dĂ©jĂ  connu cet Ă©tat particulier. ‱ de ressentir la prĂ©sence de trĂšs grandes capacitĂ©s et ressources intĂ©rieures. ‱ de bĂ©nĂ©ficier d'un grand confort Ă  rester dans cet Ă©tat. ... Naturellement, le sujet pourra ressentir une ou plusieurs de ces sensations . Contrairement Ă  certaines idĂ©es reçues sur l'hypnose thĂ©rapeutique, il est Ă  noter que ‱ on ne dort pas pendant une sĂ©ance d'hypnose. ‱ on n'est pas obligatoirement dĂ©tendu pendant la sĂ©ance. ‱ le sujet garde le contrĂŽle de la sĂ©ance. ‱ une transe profonde n'est pas impĂ©rative pour avoir des rĂ©sultats probants ‱ on ne peut pas obliger un individu sous hypnose Ă  faire quelque chose si ce n'est pas sa volontĂ©. DĂ©roulement une sĂ©ance d'hypnose En premier, le thĂ©rapeute va chercher Ă  dĂ©couvrir le problĂšme en comprenant le processus et non les dĂ©tails de la vie du patient, pour ensuite l'aider Ă  dĂ©terminer un objectif positif, rĂ©alisable et les consĂ©quences possibles pour la personne. Ensuite, la sĂ©ance d'hypnose proprement dite va se dĂ©rouler en une phase d' induction puis 'une phase d' approfondissement avec l'application d'une ou de plusieurs techniques pour guider le patient vers son objectif. Ensuite seront faites quelques suggestions pour une prochaine sĂ©ance, et enfin, la phase de retour pouvant inclure parfois une conversation sur ce qui s'est passĂ© afin d'en tenir compte lors d'une Ă©ventuelle prochaine sĂ©ance. En effet, une sĂ©ance suffit parfois, mais en rĂšgle gĂ©nĂ©rale, il faudra plusieurs sĂ©ances. Les techniques sont multiples et variĂ©es comme utiliser les mĂ©taphores, les techniques de visualisation, les suggestions indirectes et permettent au thĂ©rapeute de laisser une large place Ă  sa crĂ©ativitĂ© et Ă  son intuition... Que peut-on traiter avec l'hypnose ? Outre ses excellents rĂ©sultats sur la gestion du stress, les champs d'action de l'hypnose thĂ©rapeutique sont sont presque illimitĂ©es L'hypnose sera efficace aussi pour ce qui concerne les inhibitions, les phobies, la dĂ©pression, l'anxiĂ©tĂ©, les peurs, le stress et le mal-ĂȘtre ou mal de vivre. Mais aussi sur les insomnies, les tics et les tocs, sur la timiditĂ©, la migraine, les douleurs diverses de nature chronique.. Sur la motivation, la prĂ©paration mentale des sportifs, les problĂšmes sexuels, la boulimie et l'anorexie, les problĂšmes de peau psoriasis, eczĂ©ma, prurit, zona, verrues, urticaire... Sur les allergies ponctuelles ou chroniques, l'asthme, l'hypertension artĂ©rielle, les problĂšmes de poids, et bien sur le traitement rapide de toutes les dĂ©pendances alcool, tabac, drogue, nourriture, jeux et achats compulsifs ... Les possibilitĂ©s d'applications et de rĂ©solutions de vos problĂšmes grĂące Ă  l'hypnose sont nombreuses et cette liste n'Ă©tant pas exhaustive, il sera impĂ©ratif d'en discuter avec votre thĂ©rapeute pour bien dĂ©terminer les objectifs Ă  atteindre... bonne sĂ©ance !

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