MalheurĂ  celui par qui le scandale arrive. Malheur Ă  celui par qui le scandale arrive. vendredi 22 octobre 2021, par Michel Delmas | Prises de position" L’intervention de Mgr de Moulins-Beaufort ne peut rester impunie, faute de quoi les autres cultes seraient en droit de considĂ©rer que les divers cultes ne sont pas traitĂ©s de maniĂšre Ă©galitaire et l’islam politique DĂ©couvrez ces expressions que nous utilisons depuis notre plus jeune Ăąge. Certaines ont tellement imprĂ©gnĂ© notre culture qu’on ne soupçonne pas qu’elles puissent avoir une origine par qui le scandale arriveFinancier, politique, alimentaire, social, sexuel, sanitaire, environnemental
 les qualificatifs ne manquent pas pour caractĂ©riser les diffĂ©rents scandales qui Ă©maillent rĂ©guliĂšrement notre actualitĂ©. Le terme recouvre toutes sortes de rĂ©alitĂ©s ou rĂ©vĂšle ce qui devait rester cachĂ©, le scandale est universel, il a mĂȘme sa aussi Ces expressions qui ont une origine biblique Qui sĂšme le vent rĂ©colte la tempĂȘte »Le Petit Robert nous enseigne que le premier sens courant actuel du mot scandale est un effet fĂącheux, choquant, ayant un grand retentissement dans le public, produit par des faits, des actes ou des propos considĂ©rĂ©s comme contraires Ă  la morale, aux usages ». Le terme est beaucoup plus complexe dans la Bible oĂč il est employĂ© Ă  plusieurs reprises avec plusieurs niveaux de lecture et d’interprĂ©tation, notamment du fait des traductions successives, de l’hĂ©breu vers le grec puis du grec vers le mot français scandale vient du grec ecclĂ©siastique skandalon piĂšge placĂ© sur le chemin, obstacle pour faire tomber et, symboliquement, toute occasion de pĂ©cher, comme l’explique JĂ©sus dans l’évangile de saint Luc JĂ©sus disait Ă  ses disciples “Il est inĂ©vitable que surviennent des scandales, des occasions de chute ; mais malheureux celui par qui cela arrive !“ Lc 17, 1L’homme, scandale pour l’homme, le Christ, scandale pour l’hommeDans le domaine moral et religieux, il existe plusieurs maniĂšres de faire tomber » quelqu’un. Ce peut ĂȘtre la tentation qu’exercent Satan sur les hommes ou les hommes sur leurs prochains. L’homme peut ĂȘtre un scandale pour l’homme lorsqu’il cherche Ă  le dĂ©tourner de sa foi, Ă  l’entraĂźner loin de sa fidĂ©litĂ© Ă  Dieu. Un comportement que JĂ©sus condamne avec sĂ©vĂ©ritĂ© Il vaut mieux qu’on lui attache au cou une meule en pierre et qu’on le prĂ©cipite Ă  la mer, plutĂŽt qu’il ne soit une occasion de chute pour un seul des petits que voilĂ . » Lc 17, 2Lire aussi Ces expressions qui ont une origine biblique La chair est faible »Mais le scandale » peut Ă©galement dĂ©signer l’épreuve Ă  laquelle Dieu soumet son peuple pour jauger sa foi. Dans l’Ancien Testament, la pierre de scandale », traduite par pierre d’achoppement », qualifie l’obstacle sur lequel butent les incrĂ©dules, c’est l’épreuve de la foi en Dieu Il [le Seigneur de l’univers] deviendra un lieu saint, qui sera une pierre d’achoppement, un roc faisant trĂ©bucher les deux maisons d’IsraĂ«l, piĂšge et filet pour l’habitant de JĂ©rusalem. » Is 8, 14Quant Ă  JĂ©sus, dans une sociĂ©tĂ© figĂ©e par la tradition, il reprĂ©sente lui aussi celui par qui le scandale arrive » puisque tout, dans sa personne, sa vie et ses paroles, choque ceux qui sont en face de lui. Sais-tu que les pharisiens ont Ă©tĂ© scandalisĂ©s en entendant cette parole ? » lui demandent les disciples Mt 15, 12.Lire aussi Ces expressions qui ont une origine biblique Celui qui prend l’épĂ©e pĂ©rira par l’épĂ©e »Suivant les traductions et le contexte, le terme possĂšde donc une ambivalence ! L’appliquant Ă  notre vie de chrĂ©tiens, le pape François a expliquĂ© que le scandale est dire et professer un style de vie — “je suis chrĂ©tien“ — et ensuite vivre comme un paĂŻen qui ne croit Ă  rien ». Et cela fait scandale, car le tĂ©moignage manque la foi confessĂ©e est vie vĂ©cue » mĂ©ditation matinale en la chapelle de la maison Sainte-Marthe, novembre 2014. Aussile Sauveur annonce malheur Ă  celui par qui arrive le scandale, et lui en prĂ©dit le chĂątiment: «Il vaudrait mieux pour lui qu'on lui mĂźt une meule de moulin au cou et qu'on le prĂ©cipitĂąt dans la mer». BĂšde le VĂ©nĂ©rable Notre-Seigneur fait ici allusion Ă  un usage de la Palestine, oĂč le chĂątiment des grands crimes, chez les anciens Juifs, consistait Ă  prĂ©cipiter les ï»żAccueil > France > Malheur Ă  celui par qui le scandale arrive. vendredi 22 octobre 2021 " L’intervention de Mgr de Moulins-Beaufort ne peut rester impunie, faute de quoi les autres cultes seraient en droit de considĂ©rer que les divers cultes ne sont pas traitĂ©s de maniĂšre Ă©galitaire et l’islam politique aurait beau jeu de dĂ©crire une interprĂ©tation des lois françaises comme pouvant ĂȘtre Ă  gĂ©omĂ©trie variable...." "J’ai tendance Ă  penser que la premiĂšre action du ministre de l’IntĂ©rieur devrait ĂȘtre d’abord de corriger la circulaire du 11 aoĂ»t 2004 et, ensuite, de vĂ©rifier les comptes de l’Église de France." " Lors du discours des Mureaux, le 2 octobre 2020, le chef de l’État identifiait le mal qui ronge notre pays Le problĂšme, c’est cette idĂ©ologie qui affirme que ses propres lois sont supĂ©rieures Ă  celles de la RĂ©publique. ». Il visait tout particuliĂšrement l’islamisme politique et l’Église catholique de France n’était pas au centre des dĂ©bats. Cette derniĂšre se tourmentait de la pĂ©dophilie de son institution et attendait avec impatience les conclusions de la Commission IndĂ©pendante sur les Abus Sexuels dans l’Église CIASE. Le nombre de victimes et de prĂ©dateurs prĂ©occupait Mgr de Moulins-Beaufort, prĂ©sident de la ConfĂ©rence des ÉvĂȘques de France CEF. Les Ă©valuations en sa possession allaient de 3 000 Ă  10 000 victimes, chiffres qui, somme toute, n’ébranleraient pas profondĂ©ment la confiance des acteurs pastoraux. De plus, le fonds de dotation de 10 millions d’euros constituĂ© Ă  cet usage pourrait couvrir en grande partie l’indemnisation des personnes traumatisĂ©es..." LIRE L’INTÉGRALITÉ DU TEXTE Michel Delmas octobre 2021 Auteur de L’islam et la RĂ©publique laĂŻque, collection DĂ©bats laĂŻques, L’Harmattan, 2019 Violsou agressions sexuelles intrafamiliales, l'omerta. Malheur Ă  celle par qui le scandale arrive ou les rats quittent le navire
Chapitre 17 Enseignement Ă  pardonner v. 1-4. — Dans ce monde oĂč le mal domine, JĂ©sus dit qu’il est impossible qu’il n’arrive pas des occasions de chute ou scandales. Un scandale est un acte par lequel on entraĂźne au mal quelqu’un qui cherche Ă  marcher dans le bien, chose tout particuliĂšrement grave s’il s’agit de personnes jeunes dans la foi. C’est ce que Satan cherche Ă  faire envers tous par des moyens trĂšs divers. Lorsqu’il n’y aura plus que le bien, quand le Fils de l’homme aura ĂŽtĂ© tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité» Matthieu 1341, il n’y aura plus d’occasion de chute. En attendant, malheur Ă  ceux par qui elles ont lieu. Ce qui honore Dieu au milieu d’un monde qui l’oublie, c’est la foi; elle doit caractĂ©riser le croyant avec la simplicitĂ© d’un petit enfant, qui a une si grande valeur pour Dieu. JĂ©sus dit qu’il vaudrait mieux ĂȘtre jetĂ© dans la mer avec une meule d’ñne au cou que de scandaliser un de ces petits v. 2, paroles bien solennelles et qui nous font comprendre la gravitĂ© d’un tel mal aux yeux de Dieu. HĂ©las! les occasions de chute ne proviennent pas du monde seulement, mais aussi des chrĂ©tiens qui se permettent des actes mauvais; d’autres n’auraient pas eu peut-ĂȘtre la libertĂ© de les commettre, mais s’autorisent d’eux pour en faire autant. C’est pourquoi JĂ©sus dit Prenez garde Ă  vous-mĂȘmes» v. 3. Il faut veiller sur soi, afin de n’ĂȘtre pas une occasion de chute en tombant soi-mĂȘme, se juger constamment et contrĂŽler sa voie Ă  la lumiĂšre de la Parole de Dieu, ĂȘtre sĂ©vĂšre pour soi et plein de grĂące envers ses frĂšres qui peuvent manquer aussi. Le Seigneur ajoute Si ton frĂšre pĂšche, reprends-le, et s’il se repent, pardonne-lui; et si sept fois le jour il pĂšche contre toi, et que sept fois il retourne Ă  toi, disant Je me repens, tu lui pardonneras» v. 3-4. Cela veut dire qu’il faut toujours pardonner, agir envers ceux qui ont manquĂ© comme Dieu l’a fait envers nous. La grĂące dont nous sommes les objets doit nous caractĂ©riser dans toutes nos voies. On remarquera que, si le pardon doit ĂȘtre accordĂ©, au besoin, sept fois le jour, c’est seulement si le coupable exprime sa repentance Si sept fois le jour il pĂšche contre toi, et que sept fois il retourne Ă  toi, disant Je me repens, tu lui pardonneras». Il faut porter un vĂ©ritable intĂ©rĂȘt Ă  celui qui a manquĂ© en s’assurant que l’Ɠuvre de la repentance a eu lieu chez lui, s’il a eu Ă  faire avec Dieu au sujet de son pĂ©chĂ© pour en ĂȘtre purifiĂ©; car pardonner sans cela, c’est encourager le mal; le jugement de soi-mĂȘme est le moyen de ne pas tomber de nouveau. En cela, comme en toutes choses, il faut ĂȘtre imitateur de Dieu qui pardonne toujours, mais aprĂšs la confession du pĂ©chĂ© voir Psaume 325; 1 Jean 19. Il est dit aussi en ÉsaĂŻe 2610 Si l’on use de grĂące envers le mĂ©chant, il n’apprend pas la justice; dans le pays de la droiture il fait le mal, et il ne voit pas la majestĂ© de l’Éternel». Cependant, si pour faire connaĂźtre son pardon, il faut qu’il y ait eu repentance, cela ne veut pas dire qu’il faut attendre ce moment-lĂ  pour pardonner dans son cƓur; on attendra pour faire connaĂźtre le pardon, mais par devers soi on doit pardonner aussitĂŽt la faute connue; malheureusement cela n’arrive pas toujours. Nous attendons le plus souvent de voir des dispositions Ă  la repentance pour ĂȘtre nous-mĂȘmes disposĂ©s Ă  pardonner, tandis que, avec l’esprit de grĂące dans lequel nous devons vivre, le pardon doit avoir lieu immĂ©diatement. Nous devrions attendre avec une sorte d’impatience le moment de pouvoir le faire connaĂźtre au coupable, dĂšs que nous entendons ce petit mot, souvent difficile Ă  dire Je me repens». Il va sans dire que le pardon est sans retour; comme Dieu l’a fait envers nous, disant Je ne me souviendrai plus jamais de leurs pĂ©chĂ©s ni de leurs iniquitĂ©s» HĂ©breux 1017. Faire ce qui est commandĂ© v. 5-10. — Dans le domaine de la grĂące, celui de la foi et de l’obĂ©issance, le cƓur Ă©prouve parfois quelque difficultĂ© Ă  agir avec de tels principes. C’était surtout Ă©trange pour les disciples qui avaient vĂ©cu jusqu’alors sous la loi, principe lĂ©gal qui convient Ă  chacun. C’est pourquoi, en entendant les exhortations du Seigneur au sujet du pardon, ils lui demandent d’augmenter leur foi, pensant qu’il faut une grande foi pour marcher dans un chemin si Ă©tranger au cƓur naturel. Le Seigneur leur rĂ©pond Si vous avez de la foi comme un grain de moutarde, vous diriez Ă  ce mĂ»rier DĂ©racine-toi, et plante-toi dans la mer; et il vous obĂ©irait» v. 6, chose impossible selon la nature. La foi, quelle qu’elle soit, fait intervenir Dieu, et dĂšs lors tout peut arriver, car rien n’est impossible Ă  Dieu. Il s’agit simplement de savoir si la chose pour laquelle on fait intervenir Dieu est selon lui; si elle est contraire Ă  sa volontĂ©, c’est inutile de parler de foi, mais si l’on est avec Dieu, dans le chemin de l’obĂ©issance, dans la jouissance de sa communion et l’intelligence spirituelle qui discerne ses pensĂ©es, tout ce que l’on peut dĂ©sirer se fera, et, surtout, nous pourrons accomplir ce qu’il demande de nous sans question de grande ou de petite foi, parce que la foi, dans quelque mesure que ce soit, compte sur Dieu seul. Il y a, avec la foi, un autre principe auquel le Seigneur veut rendre attentifs les disciples, et nous aprĂšs eux, par l’exemple donnĂ© dans les v. 7-9 celui de l’obĂ©issance. Le Seigneur suppose le cas d’un maĂźtre qui, ayant un serviteur labourant ou paissant le bĂ©tail, lorsqu’il rentre du travail, ne lui dit pas de se mettre Ă  table; il lui enjoint, au contraire, de lui apprĂȘter Ă  souper; aprĂšs cela, il pourra manger et boire. Le Seigneur dit du maĂźtre Est-il obligĂ© Ă  l’esclave de ce qu’il a fait ce qui avait Ă©tĂ© commandĂ©? Je ne le pense pas. Ainsi, vous aussi, quand vous aurez fait toutes les choses qui vous ont Ă©tĂ© commandĂ©es, dites Nous sommes des esclaves inutiles; ce que nous Ă©tions obligĂ©s de faire, nous l’avons fait» v. 9-10. Remarquons que le Seigneur ne dit pas Est-il obligĂ© Ă  l’esclave de ce qu’il eut une grande foi»; mais de ce qu’il a fait ce qui lui a Ă©tĂ© commandé». De mĂȘme il dit Quand vous aurez fait toutes les choses qui vous ont Ă©tĂ© commandĂ©es, dites ...» et non Quand vous aurez eu une grande foi». La foi disposant de la puissance de Dieu pour accomplir sa volontĂ© ne peut se sĂ©parer de l’obĂ©issance. Lorsque nous connaissons la volontĂ© de Dieu, nous devons simplement obĂ©ir, sans nous demander si nous avons la foi pour l’accomplir, comme l’esclave qui, rentrant des champs, au lieu de se reposer, boire et manger, obĂ©it Ă  son maĂźtre en lui prĂ©parant son repas et en le servant. Il ne lui dit pas qu’il lui faut une grande foi pour cela. Souvent, aprĂšs avoir connu la pensĂ©e de Dieu, au lieu d’obĂ©ir, on dit qu’on n’a pas la foi pour agir, parce qu’on regarde aux consĂ©quences de l’obĂ©issance, pĂ©nibles parfois. La foi des martyrs les a placĂ©s sur le chemin de l’obĂ©issance; ils ont donnĂ© leur vie plutĂŽt que de dĂ©sobĂ©ir, selon le divin ModĂšle qui mourut plutĂŽt que de manquer Ă  l’obĂ©issance. L’esclave ayant obĂ©i, le maĂźtre lui doit-il une grande reconnaissance? Le Seigneur dit Je ne le pense pas». L’esclave est sa propriĂ©tĂ©; le croyant aussi appartient Ă  son Seigneur, il est son esclave rachetĂ© Ă  grand prix. En retour de tout l’amour qui a fait les frais de ce rachat, il doit au Seigneur son ĂȘtre, sa vie, tout entiers. Il ne peut compter avec un tel maĂźtre; il lui doit tout. C’est dans cet esprit de dĂ©vouement et d’obĂ©issance qu’il faut servir sous le rĂ©gime de la grĂące qui a remplacĂ© celui de la loi, en ne prenant en considĂ©ration que la volontĂ© du Seigneur et son grand amour, sans penser que notre obĂ©issance est mĂ©ritoire. Ayant fait tout notre devoir, si jamais nous le faisons, nous pouvons nous appeler serviteurs inutiles; ce que nous Ă©tions obligĂ©s de faire, nous l’avons fait». VoilĂ  le sentiment que nous devons avoir de nous-mĂȘmes, comme esclaves de Christ, de celui qui nous a aimĂ©s plus que sa propre vie et qui nous fournit tout le nĂ©cessaire pour le servir. Nous savons que le Seigneur tiendra un tout autre langage Ă  ses serviteurs fidĂšles au jour oĂč chacun recevra sa louange. JĂ©sus le dit lui-mĂȘme au chap. 1237, 44; en Matthieu 2521, 23; on voit aussi dans ce mĂȘme chapitre, v. 31 Ă  40, que le Seigneur rappelle Ă  ceux qui sont Ă  sa droite des services qu’ils ne croient pas avoir accomplis, tant son cƓur prĂȘte attention aux plus petites choses faites pour lui. Un verre d’eau froide donnĂ© en son nom ne perdra pas sa rĂ©compense. Mais dans le passage qui nous occupe il ne s’agit que de ce que le serviteur doit penser de lui en rapport avec son service. Aujourd’hui, on a perdu de vue ce principe d’obĂ©issance dans une grande mesure, au milieu de ceux qui pensent servir le Seigneur. On parle beaucoup de foi, d’actes de foi, de guĂ©risons et d’autres faits trĂšs intĂ©ressants peut-ĂȘtre; on en Ă©crit des livres. Mais on fait peu de cas de l’obĂ©issance due au Seigneur en conformant sa marche, individuelle ou collective, Ă  l’enseignement immuable de la parole de Dieu. Chez l’assemblĂ©e de Philadelphie Apocalypse 3, le Seigneur se plaĂźt Ă  reconnaĂźtre, malgrĂ© le peu de force qui la caractĂ©rise, une marche conforme Ă  sa parole et Ă  son nom. Tu as gardĂ© ma parole, et tu n’as pas reniĂ© mon nom». Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui-lĂ  qui m’aime». Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole» Jean 1421, 23. Souvenons-nous que l’obĂ©issance va avec la foi, et que, si nous connaissons la pensĂ©e de Dieu, c’est pour obĂ©ir sans raisonner et sans attendre d’ĂȘtre sous l’effet d’une autre puissance que la pensĂ©e et la jouissance de l’amour dont nous sommes les objets de la part de celui qui est mort pour nous. Les dix lĂ©preux v. 11-19. — En se rendant de GalilĂ©e Ă  JĂ©rusalem, JĂ©sus rencontra, dans un village, dix hommes lĂ©preux qui s’arrĂȘtĂšrent de loin et criĂšrent JĂ©sus, maĂźtre, aie pitiĂ© de nous! Et les voyant, il leur dit Allez, montrez-vous aux sacrificateurs. Et il arriva qu’en s’en allant ils furent rendus nets» v. 13-14. Les sacrificateurs n’avaient qu’à constater la guĂ©rison; ils ne faisaient rien de plus. Dieu seul pouvait guĂ©rir de cette terrible maladie. L’un des lĂ©preux, un Samaritain, voyant qu’il Ă©tait guĂ©ri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu Ă  haute voix; et il se jeta sur sa face aux pieds de JĂ©sus, lui rendant grĂąces» v. 15-16. JĂ©sus dit Les dix n’ont-ils pas Ă©tĂ© rendus nets? Et les neuf, oĂč sont-ils? Il ne s’en est point trouvĂ© qui soient revenus pour donner gloire Ă  Dieu, si ce n’est cet Ă©tranger» v. 17-18. Dans les enseignements des chapitres qui prĂ©cĂšdent nous avons vu que la grĂące, remplaçant la loi, amenait un changement complet dans la maniĂšre d’agir de ceux qui en Ă©taient les objets. La personne du Seigneur en est la source, l’expression comme il est l’objet du cƓur qui a puisĂ© Ă  cette source. DĂšs lors, les formes du culte ordonnĂ© par MoĂŻse, pendant que Dieu n’était pas rĂ©vĂ©lĂ© en grĂące, n’avaient plus aucune valeur, comme le montre l’épĂźtre aux HĂ©breux. C’est aussi l’enseignement que nous donne la guĂ©rison des dix lĂ©preux et la conduite du Samaritain guĂ©ri. Les neuf, qui Ă©taient Juifs, dĂ©livrĂ©s comme le Samaritain, ne se sont pas laissĂ© diriger par la grĂące dont ils avaient Ă©tĂ© les objets; ils demeurent attachĂ©s au systĂšme lĂ©gal qui n’était que figure et ombre de ce que JĂ©sus venait introduire; tout en Ă©tant guĂ©ris, ils ne vont pas plus loin. Le Samaritain, hors du giron de la loi, revient naturellement Ă  JĂ©sus, source de la grĂące, donne gloire Ă  Dieu et se jette aux pieds du Sauveur pour le bĂ©nir. Aussi JĂ©sus lui dit LĂšve-toi, et t’en va; ta foi t’a guĂ©ri». Il possĂšde dĂ©sormais tout ce qui est nĂ©cessaire pour le temps et l’éternitĂ©; il n’a besoin ni de la loi, ni des sacrificateurs. Dans son attitude, le Samaritain prĂ©sente l’état normal de tout croyant lavĂ© de ses pĂ©chĂ©s par le sang de Christ nous savons que la lĂšpre est une figure du pĂ©chĂ©, il est devenu un adorateur de Dieu rĂ©vĂ©lĂ© en Christ, du Dieu de grĂące et de Christ lui-mĂȘme. Tel est le culte rendu au PĂšre et au Fils depuis que le Saint Esprit est descendu pour faire connaĂźtre tous les rĂ©sultats de l’Ɠuvre de Christ. Telle devrait ĂȘtre aussi l’attitude constante du croyant, aux pieds du Seigneur, source de tout bonheur, de la lumiĂšre et de l’amour. LĂ  son cƓur peut ĂȘtre alimentĂ© de la grĂące et de la puissance dont il a besoin pour agir comme nous l’avons vu dans les deux premiĂšres parties de ce chapitre, afin qu’il ne soit en scandale Ă  personne, qu’il use de grĂące envers tous et serve le Seigneur sans compter, en retour de tout son amour pour nous. On comprend la perte que firent les neuf, demeurĂ©s attachĂ©s aux ordonnances qui les empĂȘchaient de se mouvoir librement sur le terrain de la grĂące, avec JĂ©sus pour centre et pour objet, guĂ©ris, il est vrai, mais sans joie rĂ©elle et sans dĂ©veloppement spirituel. Cet Ă©tat est aujourd’hui celui de beaucoup de personnes sauvĂ©es, sans ĂȘtre affranchies des systĂšmes humains qui voilent la beautĂ© et la valeur de leur Sauveur et Seigneur, et les empĂȘchent de croĂźtre Ă  la ressemblance morale de celui que tout croyant peut contempler Ă  face dĂ©couverte, pour ĂȘtre transformĂ© Ă  son image de gloire en gloire 2 Corinthiens 318. Le Seigneur est ainsi privĂ© de la gloire qui lui revient par un tĂ©moignage fidĂšle. Il n’y a pas que les systĂšmes humains qui entravent le dĂ©veloppement spirituel et privent le PĂšre et le Fils d’un culte vrai et d’une marche fidĂšle dans la jouissance de la grĂące. Les mille choses de ce monde, lĂ©gitimes et autres, qui occupent le cƓur et distraient de sa personne, nous sont nuisibles et nous causent une perte prĂ©sente et Ă©ternelle. Le rachetĂ© ne peut avoir d’autre objet pour son cƓur que son Seigneur. Les paroles que l’Esprit de Dieu adresse Ă  l’épouse juive du Roi, s’adressent Ă  son Ă©pouse cĂ©leste aujourd’hui Écoute, fille! et vois, et incline ton oreille; et oublie ton peuple et la maison de ton pĂšre; et le roi dĂ©sirera ta beautĂ©, car il est ton seigneur adore-le» Psaume 4511, 12. En principe, c’est la position qu’avait prise le Samaritain guĂ©ri, et celle que doit prendre tout rachetĂ© du Seigneur sur la terre, en attendant de la rĂ©aliser dans la gloire. L’avons-nous tous prise? Le royaume de Dieu v. 20-37. — Aux pharisiens qui demandaient Ă  JĂ©sus quand viendrait le royaume de Dieu, il rĂ©pond Le royaume de Dieu ne vient pas de maniĂšre Ă  attirer l’attention; et on ne dira pas Voici, il est ici; ou, voilĂ , il est lĂ . Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous» v. 20-21. Les pharisiens pensaient naturellement Ă  l’établissement du royaume en gloire, tel que les prophĂštes l’avaient annoncĂ©. Ils s’attendaient Ă  une apparition sensationnelle du roi pour l’établir; mais ils se prĂ©occupaient fort peu du caractĂšre moral du royaume, sinon pour croire qu’eux-mĂȘmes avaient qualitĂ© pour y entrer et pour en jouir. L’expression royaume de Dieu» prĂ©sente Ă  l’esprit le caractĂšre moral de cet Ă©tat de choses caractĂ©risĂ© par les perfections de Dieu lui-mĂȘme, manifestĂ©es en Christ qui est le Roi. Normalement, un royaume quelconque porte les caractĂšres de son roi. C’est ce que l’on a vu en IsraĂ«l; le roi Ă©tait-il pieux, tout le peuple Ă©tait sous son influence; de mĂȘme s’il Ă©tait idolĂątre. Dans le royaume de Dieu, tout doit s’harmoniser avec les caractĂšres de Dieu. Le Seigneur ici-bas, tout humble, mĂ©prisĂ© et mĂ©connu qu’il ait Ă©tĂ© par les hommes, Ă©tait le roi, l’expression de ce royaume avec toutes ses perfections divines, sans attirer l’attention des hommes qui ne pensaient qu’au cĂŽtĂ© apparent et extĂ©rieur. Tout ce qu’est Dieu en bontĂ©, en misĂ©ricorde, en sagesse, en justice, en saintetĂ©, en vĂ©ritĂ©, en amour, en lumiĂšre, brillait dans la personne de JĂ©sus; mais, comme il le dit Ă  NicodĂšme en Jean 33, il fallait naĂźtre de nouveau pour le voir. L’homme naturel en est incapable. Ce royaume ne vient pas de maniĂšre Ă  attirer l’attention des incrĂ©dules. S’adressant aux disciples, JĂ©sus leur dit que le temps viendra oĂč ils dĂ©sireront voir un des jours du Fils de l’homme, un des jours dans lesquels JĂ©sus mĂ©prisĂ© et rejetĂ© Ă©tait avec eux tandis qu’ils jouissaient de sa prĂ©sence et de ses bienfaits. Le Seigneur allait les laisser au milieu d’un peuple hostile dont ils endureraient la persĂ©cution. C’est ce qui eut lieu dans les temps qui suivirent le dĂ©part du Seigneur, et cela se continuera, pour le rĂ©sidu, aprĂšs l’enlĂšvement des saints. Alors on dira Ă  ceux qui attendront le Seigneur dans la souffrance et les tribulations de ces jours-lĂ  Il est ici, ou il est là», en vue de les Ă©garer. JĂ©sus les en prĂ©vient afin qu’ils n’écoutent pas ces indications trompeuses. Car», dit-il, comme l’éclair qui brille, luit de l’un des cĂŽtĂ©s de dessous le ciel jusqu’à l’autre cĂŽtĂ© de dessous le ciel, ainsi sera le Fils de l’homme en son jour. Mais auparavant il faut qu’il souffre beaucoup, et qu’il soit rejetĂ© par cette gĂ©nĂ©ration» v. 24-25. Nous l’avons souvent dit JĂ©sus prend le titre de Fils de l’homme lorsque son rejet comme Messie est un fait reconnu. RepoussĂ© comme tel lorsqu’il vint en grĂące, il apparaĂźtra soudainement, semblable Ă  l’éclair, comme Fils de l’homme, pour juger ceux qui le rejettent et dĂ©livrer ceux qui l’attendent. Avant cela, JĂ©sus devait beaucoup souffrir pour accomplir l’Ɠuvre de la rĂ©demption en vertu de laquelle le royaume pourrait s’établir; la gĂ©nĂ©ration qui refusait de reconnaĂźtre le royaume venu dans sa personne le rejetterait dĂ©finitivement. On remarquera la rĂ©ponse aux pharisiens quant au royaume v. 20-21, faite de maniĂšre Ă  atteindre leur conscience; ils Ă©taient responsables de voir le royaume dans la personne de JĂ©sus; c’est pourquoi il leur dit Le royaume est au milieu de vous». S’ils ne le recevaient pas de cette maniĂšre, ils en seraient exclus Ă  toujours, tandis qu’aux disciples qui l’avaient reçu, JĂ©sus donne tous les renseignements relatifs Ă  son Ă©tablissement en gloire et Ă  leur conduite dans les temps qui prĂ©cĂ©deront son apparition. Jusqu’à l’établissement du royaume par le Fils de l’homme, la gĂ©nĂ©ration qui a rejetĂ© le Christ ne se prĂ©occupera pas plus de lui que des jugements, consĂ©quence de son rejet. Elle continuera, comme les hommes aux jours de NoĂ© et de Lot, Ă  ne songer qu’à la vie prĂ©sente, comme si tout allait bien pour elle. Le jour du Fils de l’homme surprendra ceux qui ne l’attendent pas, aussi sĂ»rement que le dĂ©luge sur le monde antĂ©diluvien, et aussi soudainement que le feu du ciel tombĂ© sur les habitants de Sodome v. 27-30. Les fidĂšles ont des instructions Ă  suivre pour ce temps-lĂ  v. 31. Il faudra tout abandonner, tout quitter, sans regrets, sans arriĂšre pensĂ©e, le cƓur dĂ©tachĂ© de tout ce qui se trouvera dans le lieu sur lequel les jugements tomberont. La femme de Lot sert d’exemple v. 32; son cƓur s’attachait encore aux choses que le feu consumait et le jugement l’atteignit. C’est pourquoi il faut s’en souvenir. LĂ  oĂč est le trĂ©sor, lĂ  est le cƓur; c’est terrible lorsqu’il s’affectionne aux choses que Dieu consume. Quiconque cherchera Ă  sauver sa vie, la perdra; et quiconque la perdra, la gagnera» v. 33; c’est-Ă -dire que perdre sa vie humaine avec tout ce qui se rapporte Ă  elle, c’est gagner la vie Ă©ternelle, soit pour jouir du rĂšgne, soit pour le ciel. Les v. 34-35 montrent que deux hommes ou deux femmes pourront se trouver ensemble dans les mĂȘmes circonstances, lorsque le jugement tombera sur le peuple apostat; il en prendra un et laissera l’autre pour jouir du rĂšgne. Lorsque le Seigneur viendra pour enlever les saints, aujourd’hui peut-ĂȘtre, l’inverse aura lieu; un converti et un inconverti pourront ĂȘtre dans un mĂȘme lit ou aux mĂȘmes occupations; celui qui sera pris sera enlevĂ© pour ĂȘtre avec le Seigneur, et l’autre, laissĂ© pour les jugements. Lorsque le Seigneur viendra pour rĂ©gner, ceux qui auront Ă©tĂ© laissĂ©s Ă  sa venue pour l’Église, seront pris par les jugements, et ceux du peuple juif qui se convertiront depuis leur retour dans leur pays seront laissĂ©s pour jouir du rĂšgne. Nous voyons donc que toute cette scĂšne dĂ©crite par le Seigneur dans les versets qui nous occupent se rapporte aux Juifs. Elle comprend ce qui concernait le peuple et les disciples au moment oĂč JĂ©sus Ă©tait sur la terre, et se continue jusqu’à son retour en gloire, en faisant abstraction du temps actuel qui concerne l’Église. Au v. 37, les disciples demandent oĂč ces jugements auraient lieu. JĂ©sus leur rĂ©pond en langage figurĂ© LĂ  oĂč est le corps, lĂ  aussi s’assembleront les aigles». Comme les aigles s’abattent sur les cadavres lĂ  oĂč ils se trouvent, les jugements tomberont sur le corps mort d’IsraĂ«l apostat, rentrĂ© dans son pays aprĂšs en avoir Ă©tĂ© chassĂ© par les jugements dont le Seigneur ne parle pas ici, mais au chap. 2124 tout particuliĂšrement. Il n’est pas besoin d’ĂȘtre bien spirituel pour comprendre l’analogie qui existe entre les jours dont le Seigneur parle et ceux oĂč nous sommes. Dans les uns comme dans les autres, les jugements sont Ă  la porte; et l’on se trouve Ă  la fin d’un Ă©tat de choses mauvais, au milieu duquel vivent encore ceux qui attendent le Seigneur, que ce soit comme alors pour son rĂšgne, ou comme aujourd’hui pour enlever son Église et les saints endormis. Il importe de faire partie du nombre de ceux qui l’attendent, et, en l’attendant, d’échapper au courant envahissant de ce monde qui, malgrĂ© les temps solennels oĂč nous vivons, se conduit comme aux jours de NoĂ© et de Lot. Au lieu de croire les avertissements que donne la Parole de Dieu et d’accepter le salut, il cherche sa consolation et ses encouragements en s’imaginant qu’aprĂšs ces jours mauvais, il viendra des temps meilleurs oĂč l’on pourra continuer Ă  vivre et Ă  se divertir dans le bien-ĂȘtre et l’insouciance quant Ă  Dieu et quant Ă  son avenir Ă©ternel. Au milieu de cet Ă©tat de choses, ceux qui attendent le Seigneur doivent comprendre la voix qui se fait entendre du milieu des Ă©vĂ©nements actuels, car le Seigneur veut dĂ©tacher nos cƓurs de tout ce que nous allons laisser Ă  sa venue. Ne ressemblons donc pas Ă  la femme de Lot. Elle quittait Ă  regret le lieu du jugement, le cƓur rempli de ce qu’elle laissait. Le Seigneur veut des cƓurs non partagĂ©s par les choses qu’il va dĂ©truire. Pensons Ă  son amour, pensons Ă  la grĂące qui nous est faite d’avoir la perspective de le voir bientĂŽt et d’ĂȘtre avec lui dans le ciel au lieu d’ĂȘtre laissĂ©s pour les jugements terribles qui attendent ce monde; cela suffit pour dĂ©tacher le cƓur de ce prĂ©sent siĂšcle. Toutes ces choses devant donc se dissoudre, quelles gens devriez-vous ĂȘtre en sainte conduite et en piĂ©tĂ©, attendant et hĂątant la venue du jour de Dieu, Ă  cause duquel les cieux en feu seront dissous et les Ă©lĂ©ments embrasĂ©s se fondront. Mais, selon sa promesse, nous attendons de nouveaux cieux et une nouvelle terre, dans lesquels la justice habite» 2 Pierre 311-13. Que tous ceux qui n’attendent pas le Seigneur ne demeurent pas plus longtemps liĂ©s Ă  un monde sur lequel les jugements vont Ă©clater avec terreur, dĂšs que le Seigneur aura enlevĂ© les siens, ce qui aura lieu en un clin d’Ɠil, peut-ĂȘtre aujourd’hui mĂȘme.
MalheurĂ  celui par qui le scandale arrive. publiĂ© le 26 juil. 2011, 03:22 par Jacky Mestries [ mis Ă  jour : 26 juil. 2011, 08:34 ] Rien de nouveau en fait sous nos cieux nuageux de Malheur Ă  la nation oĂč existent mille croyances mais aucune religion. 
 Malheur Ă  la nation divisĂ©e, dont chaque partie revendique pour elle-mĂȘme le nom de nation ». Gebran Khalil Gebran, Le Jardin du est de plus en plus difficile de dissiper cette impression nausĂ©abonde que l’univers mental libanais est frappĂ© de rĂ©gression et qu’un sectarisme superstitieux et idolĂątre, plus proche du tribalisme que du communautarisme et mĂątinĂ© de populisme, a pris le pas sur toute possibilitĂ© de malicieux, ce phĂ©nomĂšne se pare d’une couverture religieuse/identitaire pour rĂ©veiller les instincts les plus bas des foules, l’ennemi Ă  abattre ici Ă©tant Ă©videmment une poussĂ©e vers l’individualitĂ© qui serait encouragĂ©e par le binĂŽme diversitĂ©-libertĂ©, au nom de la prĂ©servation des croyances et fondements de la foi, et, au-delĂ , d’un sentiment illusoire mais sĂ©curisant de force garanti par l’esprit de corps communautaire. C’est l’autre nom de la dhimmitude, ou le renoncement aux responsabilitĂ©s induites par la citoyennetĂ©, au profit du confort grĂ©gaire de la matrice identitaire. Or, au nom de la force » de la assabiya qui consolide les radicaux et affaiblit ceux qui prĂȘchent la modĂ©ration, l’équilibre et la mesure, toutes les communautĂ©s se replient progressivement sur une posture minoritaire. Preuve en est, par exemple, le net recul du courant du Futur de Saad Hariri face au projet de mariage civil qu’il avait lui-mĂȘme lancĂ© il y a quelques annĂ©es face Ă  la loi Ferzli pour combattre les volontĂ©s politiques de cette loi de briser toute perspective de front politique transcommunautaire et ramener chacun dans son enclos. Dans le cas chrĂ©tien, cela se traduit par un abandon progressif des valeurs de libertĂ©, d’ouverture, d’acceptation de l’autre dans toutes ses diffĂ©rences et de misĂ©ricorde, qui constituent l’essence du message du Christ, et qui figuraient dĂ©jĂ  dans l’idĂ©e de minoritĂ©s associĂ©es » Ă  l’origine de la Constitution de 1926. Michel Chiha, l’artisan de la Loi fondamentale, n’avait pas en tĂȘte le Liban comme un enclos de tribus communautaires aguerries, mais comme un pays devant, Ă  travers ses institutions et son vivre-ensemble, dĂ©boucher sur un dĂ©passement du tribalisme en vue de parvenir Ă  la citoyennetĂ©. Mais cela se traduit aussi, au plan politique, par une rĂ©signation croissante face Ă  la nĂ©cessitĂ© de dĂ©fendre le caractĂšre dĂ©finitif de l’entitĂ© libanaise, la souverainetĂ© et l’indĂ©pendance par exemple, au profit d’une servitude volontaire dans ce cadre qu’il convient de replacer le vacarme hystĂ©rique actuel autour de l’affaire du groupe MashrouÊ» Leila et la volontĂ© de certains groupes radicaux de prohiber par la menace, la contrainte et les anathĂšmes le concert Ă  Byblos, Ă  moins que la formation ne fasse son mea culpa devant l’ et la censure au nom d’une joute entre les assabiyat communautaires fortes » rĂ©cupĂ©rĂ©es par les partis occupent ainsi de plus en plus de place dans l’espace politique libanais, dans une descente aux abĂźmes sociale, politique et culturelle qui n’a pour autre nom que le suicide collectif. Aucune communautĂ© n’échappe au piĂšge le Hezbollah avec les caricatures de Khamenei et de Nasrallah ou l’interdiction des concerts de Samba dans ses » rĂ©gions, les islamistes sunnites avec ceux de Mahomet, les chrĂ©tiens face au hard-rock et aux pantoufles de Halloween, le Parti byzantin » face au film de propagande turc sur la chute de Constantinople, etc.. La rĂ©action populiste chrĂ©tienne face aux provocations » – caractĂ©ristiques de la contre-culture pop-rock – de MashrouÊ» Leila constituerait dans ce sens, ne serait-ce qu’inconsciemment, une rĂ©ponse mimĂ©tique Ă  l’épisode rĂ©cent au cours duquel une dĂ©putĂ©e sunnite de Beyrouth a dĂ» faire acte de contrition devant le mufti de la RĂ©publique aprĂšs avoir fait acte de prĂ©sence Ă  une messe
 avant de se retrouver de nouveau sous les foudres des masses sunnites pour avoir bu un cafĂ© Ă  BkerkĂ© durant le mois de Ramadan
Or en dĂ©truisant l’attachement Ă  la libertĂ© comme Ă©lĂ©ment constitutif de la personne humaine, et son corollaire, la capacitĂ© de cet individu Ă  pouvoir dĂ©cider lui-mĂȘme et faire ses propres choix, sans tuteur, c’est l’ensemble du pays que l’on dĂ©truit, car ce qu’il rĂ©sulte de la fragilisation de cette spĂ©cificitĂ©, c’est, d’un cĂŽtĂ©, une dĂ©responsabilisation de l’individu et un avortement de toute citoyennetĂ© potentielle, mais aussi, de l’autre, une atteinte fondamentale aux libertĂ©s des groupes sociocommunautaires cherche donc Ă  dĂ©montrer que son esprit de corps lui confĂšrerait la force – et donc le pouvoir – d’interdire, par-delĂ  la volontĂ© de l’État, mĂȘme si cela aboutit, au demeurant, Ă  la perte de son identitĂ©, de sa mission, de ses vĂ©ritables valeurs. Pourvu que chacun puisse montrer Ă  l’autre qu’il a, de facto, les mĂȘmes droits, les mĂȘmes privilĂšges et la mĂȘme illusion de puissance que l’autre. Et, au pire, pour Ă©viter le retour Ă  l’état de nature, celui de la guerre de tous contre tous, pourquoi donc ne pas retourner au LĂ©viathan, celui qui viendra trancher les litiges et assurer la protection en proclamant l’interdit, qu’il s’appelle autoritĂ© ecclĂ©siastique, puissance de tutelle ou appareil sĂ©curitaire rĂ©pressif... ?On ne peut pas prendre position en faveur de la citoyennetĂ© et contribuer Ă  renforcer son avortement. La censure engendre en effet l’autocensure, c’est-Ă -dire la dĂ©pendance et la rĂ©pression, puis la dĂ©responsabilisation, l’ignorance, la peur – et, au final, la violence. Il s’agit de l’envers de la citoyennetĂ©, fondĂ©e sur la responsabilitĂ©, elle-mĂȘme rĂ©sultante de la libertĂ©, qui est, encore une fois, donc la justice qui est amenĂ©e Ă  jouer un plus grand rĂŽle, aux juges d’avoir la sagesse de modĂ©rer les dĂ©bats, dans la mesure oĂč il est de leur mission de contribuer au renforcement de la loi comme autoritĂ© de rĂ©fĂ©rence, et donc de l’État, avec la libertĂ© comme norme, comme principe fondateur et fondamental. Dans le cas de la controverse actuelle, le prĂ©cĂ©dent est grave, dans la mesure oĂč les institutions religieuses s’arrogent un droit de regard prĂ©alable et arbitraire – ce qui peut paraĂźtre sacrilĂšge pour une personne ne l’est pas pour une autre – qui n’est plus de leur ressort depuis le fameux Index, voire depuis
 l’Inquisition.Lire aussi LibertĂ© d’expression ne cĂ©dons pas face Ă  la violence !Reste Ă  savoir enfin si MashrouÊ» Leila et ses chansons mĂ©ritent que le ciel leur tombe sur la tĂȘte. L’art, dans sa fonction, est l’expression d’une multitude de choses la beautĂ© comme la laideur, le bien-ĂȘtre comme le mal-ĂȘtre, le sacrĂ© comme le profane, l’élĂ©vation comme la chute, le fantasme comme la rĂ©alitĂ©, etc. En d’autres termes, l’art est une reprĂ©sentation de l’humain dans toute sa complexitĂ© et ses contradictions. Il est bien plus le rĂ©sultat d’une certaine forme de libĂ©ration et de folie – d’exorcisme cathartique – consciente ou inconsciente. Il faut garder Ă  l’esprit que les tentatives de rationaliser, de dompter, de discipliner, de canaliser l’art dans une fonction sociale ou politique relĂšvent de l’esprit totalitaire et conduisent Ă  l’autocensure, au syndrome Pinochet » de servitude volontaire mĂ©canique, chanson du groupe, Djin », qui fait aujourd’hui polĂ©mique, est plus dans l’esprit de l’hĂ©donisme dionysiaque nietzschĂ©en, pas dans l’esprit de la promotion ou de l’apologie de quelque valeur, notamment du satanisme – Ă  considĂ©rer qu’il ne soit pas permis, du point de vue de la libertĂ© d’expression, d’adorer qui l’on veut, Ă  condition de ne pas troubler l’ordre public. L’auteur y dĂ©crit une sorte de rituel Ă  caractĂšre primitif, qui ressemble Ă  une libĂ©ration de toutes les pulsions face Ă  un carcan sociĂ©tal de valeurs sociales, sexuelles, morales, religieuses. Il veut devenir fou », c’est-Ă -dire s’affranchir des valeurs sociales en se retranchant dans le plaisir, l’animalitĂ©, le vin, le gin, etc. Djin » n’est pas Ă  prendre dans le sens littĂ©ral occulte. Les allusions Ă  la religion non plus. Nous sommes plus dans une lecture baudelairienne du plaisir dionysiaque revisitĂ© dans le genre d’un Jim Morrison, par chanteur de MashrouÊ» Leila veut retourner au grĂ©gaire par le plaisir dionysiaque. D’autres veulent retourner au grĂ©gaire par la porte du sectarisme et du tribalisme c’est en partie la rĂ©action de ceux qui ont Ă©tĂ© offusquĂ©s par la chanson au point de vouloir interdire par la contrainte le groupe de se produire Ă  Jbeil. Hamed Sinno exprime quelque part ce que Marcel Gauchet, et avant lui Max Weber, qualifiaient de dĂ©senchantement du monde ». N’est-il pas ainsi possible de voir, au contraire, dans cette chanson, plutĂŽt qu’un sacrilĂšge, une volontĂ© impulsive de renouer avec le sacrĂ© dans un monde complĂštement dĂ©sacralisĂ© ?Cette grille de lecture laisse penser que toute cette histoire ne mĂ©rite pas tant d’importance. Le texte, d’ailleurs, manque de consistance et de substance. C’est cette hĂ©sitation, cette ambiguĂŻtĂ©, qui fait sa faiblesse, tandis que ses dĂ©tracteurs, eux, sont forts de leur orgueil, celui de la connaissance, et peuvent se permettre de se substituer Ă  Dieu pour le condamner comme hĂ©rĂ©tique ou satanique ».Faut-il donc dresser les potences et rallumer les bĂ»chers pour tout cela ? Le temps est-il revenu de brĂ»ler les Ɠuvres d’AverroĂšs, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, LautrĂ©amont, Nietzsche, Spinoza, Brassens, LĂ©o FerrĂ©, Pasolini, Desproges ou Madonna par exemple parce qu’ils ont Ă©tĂ©, chacun Ă  son Ă©poque, choquants, en rĂ©volte contre les contraintes, les conventions et les rĂšgles de leur Ă©poque ?Ou bien s’agit-il d’une perte de temps et d’énergie dans une polĂ©mique inutile qui dĂ©note effectivement d’une angoisse profonde de fragilitĂ© et de faiblesse – encore une fois, le contraire absolu de ladite force » prĂ©tendue – dans le tissu socio-communautaire libanais et chrĂ©tien en particulier ? La scĂšne ressemble quelque peu Ă  l’hystĂ©rie collective du couvent des Ursulines au XVIIe siĂšcle, contĂ©e par Aldous Huxley 1952 et adaptĂ©e Ă  l’écran par Ken Russell The Devils, 1971 oĂč, par le biais d’une machination fomentĂ©e par Richelieu, les religieuses en viennent Ă  avouer collectivement qu’elles ont frayĂ© avec le Malin sous les ordres de leur supĂ©rieur, l’évĂȘque de Loudun Urbain Grandier, dont le cardinal veut se dĂ©barrasser parce qu’il constitue un obstacle Ă  ses projets politiques. Il sera accusĂ© de sorcellerie et ultimement condamnĂ© au bĂ»cher, aprĂšs avoir persistĂ© jusqu’au bout Ă  rejeter les accusations dirigĂ©es contre lui
Il faut donc se mĂ©fier du jugement de la foule, surtout lorsque des groupes radicaux ont pris la dĂ©cision d’enflammer les instincts et les esprits en jouant sur la corde la plus sensible la communautĂ© en danger » contre un mal, l’autre, qu’il soit un frĂšre, un rival ou un ennemi, une force rĂ©elle, invisible ou occulte, qu’il nous ressemble ou qu’il soit diffĂ©rent. C’est le rĂŽle des autoritĂ©s politiques et religieuses, mais aussi et surtout des institutions judiciaires, de la sociĂ©tĂ© civile et des mĂ©dias de rectifier le dĂ©bat au lieu de se soumettre, par calcul politicien, au verdict du peuple », et de cĂ©der aux passions populaires. Le scandale, qui n’est autre que Satan, arrive par l’incapacitĂ© de la foule Ă  Ă©chapper Ă  l’esprit rivalitaire qui est en fait un esprit de servitude, car il nous agenouille devant tous ceux qui l’emportent sur nous, sans voir l’insignifiance des enjeux », Ă©crit l’anthropologue chrĂ©tien RenĂ© Girard. La prolifĂ©ration des scandales, donc des rivalitĂ©s mimĂ©tiques, est ce qui produit le dĂ©sordre et l’instabilitĂ© dans la sociĂ©tĂ©, d’oĂč la nĂ©cessitĂ© de chercher un bouc-Ă©missaire innocent, qui ramĂšnerait de l’ordre », poursuit-il. C’est alors, explique-t-il, qu’une fausse transcendance » s’opĂšre et que Satan expulse Satan », selon la formule de JĂ©sus-Christ. La stabilitĂ© est opĂ©rĂ©e temporairement par une opĂ©ration satanique », rĂ©sume-t-il, avant d’ajouter que Satan est un trope puissant pour dĂ©crire l’unanimitĂ© de la foule quand elle accuse la victime d’ĂȘtre coupable et qu’elle l’assassine ensuite sans aucun remords. » J’ai vu Satan tomber comme l’éclair et Celui par qui le scandale arrive. Conjurer Satan, c’est donc Ă©chapper aux mĂ©canismes de la rivalitĂ© scandale » le plus connu, dans ce cadre, n’est autre que celui de JĂ©sus-Christ, condamnĂ© par la masse au profit du voleur avons-nous appris depuis ? Lire l'intĂ©gralitĂ© de L'Orient littĂ©raire iciLire aussiAprĂšs l’annulation du concert de Mashrou’ Leila, la sociĂ©tĂ© civile contre-attaqueChers Hamed, Carl, Haig et Firas, le billet de MĂ©dĂ©a AZOURILibertĂ©s publiques au Liban Le silence coupable des partis politiques doit cesser »Crise de foi, l'Ă©dito d'Emilie SUEUREx-pressions, l'Ă©ditorial de Issa GORAIEBAnnulation du concert de Mashrou' Leila les appels Ă  protĂ©ger la libertĂ© d'expression se multiplientÉcraser l’infĂąme dans l’affaire Mashrou’ LeilaMashrou’ Leila, de vrais musiciens d’abord

MalheurĂ  celui par lequel ou par qui le scandale arrive ! La personne de laquelle, de qui, dont j’ai reçu tant de bienfaits. La personne de laquelle, de qui, dont j’ai reçu tant de bienfaits. – Toutefois, s’emploie toujours aprĂšs les prĂ©positions Parmi et Dans.

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Synopsis- Candice Renoir (S01E07) Le corps d'un adolescent de 17 ans, Nathan Rieux, est retrouvĂ© sans vie non loin d'un canal. Les enquĂȘteurs trouvent sur lui un gros sachet de cannabis qui laisse Ă  penser que la victime se livrait au commerce de la drogue. Candice s'escrime Ă  rassembler les morceaux d'un autocollant dĂ©chirĂ© retrouvĂ© 1 malheur Ă  celui par qui le scandale arrive ĐłĐŸŃ€Đ” Ń‚ĐŸĐŒŃƒ Ń‡Đ”Đ»ĐŸĐČĐ”Đșу, чДрДз ĐșĐŸŃ‚ĐŸŃ€ĐŸĐłĐŸ ŃĐŸĐ±Đ»Đ°Đ·Đœ ĐżŃ€ĐžŃ…ĐŸĐŽĐžŃ‚ Dictionnaire français-russe des idiomes > malheur Ă  celui par qui le scandale arrive 2 malheur Dictionnaire français-russe des idiomes > malheur 3 scandale Dictionnaire français-russe des idiomes > scandale 4 arriver Dictionnaire français-russe des idiomes > arriver ĐĄĐŒ. таĐșжД ĐČ ĐŽŃ€ŃƒĐłĐžŃ… ŃĐ»ĐŸĐČарях scandale — [ skɑ̃dal ] n. m. ‱ XIIe; bas lat. scandalum, gr. skandalon obstacle, pierre d achoppement » A ♩ Relig. 1 ♩ Occasion de pĂ©chĂ© créée par la personne qui incite les autres Ă  se dĂ©tourner de Dieu; le pĂ©chĂ© commis par la personne qui incite et par
 
 EncyclopĂ©die Universelle malheur — [ malɶr ] n. m. ‱ av. 1526; a mal eĂŒr de façon funeste » fin XIIe; de 1. mal et heur 1 ♩ ÉvĂ©nement qui affecte ou semble de nature Ă  affecter pĂ©niblement, cruellement qqn. ⇒ accident, affliction; calamitĂ©, catastrophe, coup, dĂ©sastre, deuil 
 EncyclopĂ©die Universelle scandale — skan da l s. m. 1° Terme de l Écriture sainte. Ce qui est occasion d errer, de tomber dans l erreur ou dans le pĂ©chĂ©. ‱ Si votre main vous est un sujet de scandale, coupez la, SACI Bible, Évang. St Marc, IX, 42. ‱ JĂ©sus crucifiĂ©, qui a
 
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malheur Ă  celui par qui le scandale arrive